Covid, Injections, Pénuries, Guerre… la Grande Manip’ ne s’arrêtera plus !

Mercredi, 26 Octobre 2022 11:46
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Vous en prendrez bien une dose supplémentaire ?

altQuand arrêteront-ils de nous emmerder ?

Vous, je ne sais pas, mais moi, j’en ai plein le cul !

Ça fait quatre ans qu’on nous balade sur tous les sujets, dans tous les registres, sur toutes les questions essentielles, parfois existentielles.

En 60 ans de parcours ici bas sur Terre, même au plus chaud de la Guerre froide, j’estime que jamais l’opinion n’a été à ce point manipulée, sur une telle durée, avec pareille intensité.

À l’entame du XXIe siècle, nous avons connu quelques galops d’essai pas piqués des hannetons après le 11 septembre 2001 et dans une moindre mesure avec la Grippe H1N1. Mais là, on bat tous les records !

Notre président élu en 2017 n’est pas étranger à l’emballement de la spirale à décérébrer et lobotomiser l’opinion. Cela n’est pas surprenant, nous avions été instruits de ses remarquables dons de nuisance par deux de ses mentors.

Écoutons Alain Minc promouvant la candidature d’Emmanuel Macron chez Rothschild. «Je lui ai dit [au directeur de la banque] : Il faut prendre Macron à tout prix ! Parce qu’il est exceptionnellement charmant et intelligent, et que ce sont les qualités d’un banquier d’affaires. Un banquier d’affaires doit être intelligent, souple, rapide. Si en plus il est charmant… Parce que c’est quand même un MÉTIER DE PUTE !». (Source : Envoyé Spécial - France2 - décembre 2016).

Plus tard, François Henrot, alors directeur de la Banque Rothschild confiait au futur président de la république : «Écoute, ne cherche pas plus loin ! Considère que tu es associé dans cette maison. On apprend vraiment l’art de la négociation. On est beaucoup amené à communiquer et c’est - j’allais dire heureusement ou malheureusement - utile en politique, c’est-à-dire à raconter des hist… une histoire. Donc on y apprend d’une certaine façon aussi des techniques de… euh… pas de manipulation de l’opinion mais de… euh… un petit peu».

Ces deux témoignages authentiques fixent bien les contours de ce que nous subissons depuis 3 ou 4 ans. On nous raconte, ils nous racontent, Macron nous raconte des histoires au mieux fantaisistes, au pire totalement mensongères, afin de désorienter l’opinion dans un premier temps, pour la rendre plus malléable et servile. Et «ils» y sont arrivés plus aisément qu’ils ne l’imaginaient.

Tout a commencé avec la farce du Grand Débat qui permit à Emmanuel Macron de reprendre la main et étouffer la révolte des Gilets Jaunes, ces gueux, ces abrutis de complotistes, racistes, antisémites, fascistes, qui posèrent les bonnes questions sans obtenir la moindre réponse d’un exécutif qui ne voit rien venir. Ou plutôt qui se refuse à anticiper pour exacerber les tensions.

L’adage n’affirme-t-il pas pourtant : «Gouverner, c’est prévoir» ? Avec Macron, on est plutôt dans «Gouverner, c’est enfumer le pèlerin».

Augmentation des prix, coût des énergies, état déplorable des services hospitaliers (notamment), entrave à l’expression démocratique… les Gilets Jaunes ont mis sur la table les thèmes qui, aujourd’hui encore, restent au cœur des grands enjeux politiques, économiques et sociaux.

Fin 2019, la contestation prit une autre dimension quand la rébellion des premiers fut rejointe par les contestataires de la réforme des retraites. En novembre et décembre, des dizaines de milliers de travailleurs de la fonction publique, de la SNCF et de la RATP manifestèrent soutenus par la queue de comète du mouvement Gilets Jaunes, entonnant le chant désormais célèbre : «On est là, on est là, même si Macron ne veut pas !».

De cette période, on garde en mémoire les affrontements parfois violents entre pompiers et CRS ou entre infirmiers et gendarmes. Les soldats du feu et leurs homologues des hôpitaux se faisant copieusement matraqués, rossés, par des forces de l’ordre deux mois avant qu’ils ne deviennent les héros de la pandémie naissante. Eh oui ! La chronologie des événements est cruelle. Les sauveurs de février, mars et avril 2020 étaient les parias de novembre et décembre 2019.

Je ne m’étendrai pas longuement sur le Grand Barnum que provoqua l’intrusion du SARS-CoV2 dans notre vie quotidienne.

Un gars comme moi est passé par tous les états : Paniqué à l’entame de l'épidémie, constatant que les autorités ne prenaient aucune mesure de bon sens pour limiter la propagation du virus. Puis rassuré à l’idée que des traitements promus par des sommités de la virologie et de l’infectiologie pouvaient réduire les risques d'hospitalisation. Je veux parler de l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, l’Azithromycine prescrites par les Professeurs Raoult, Montagnier, Perronne… de renommée mondiale. Puis abasourdi en apprenant qu’il n’y avait pas de traitements, qu’il fallait attendre l’élaboration de vaccins, se soigner au Doliprane, et se protéger avec des masques «qui ne servaient à rien» (ce qui tombait bien puisque nous n’en disposions pas) avant d’être obligatoires (une fois les commandes passées à la Chine livrées, quatre mois après l’entame de l’épidémie).

Jusqu’à la levée du premier confinement, en mai 2020, nous fumes ballotés entre dénis de réalité et incohérences (incompétences) plus délirantes les unes que les autres.

Je ne m’étendrai pas sur les confinements, les attestations de déplacement pour acheter une baguette de pain ou faire pisser son chien. Pas plus que sur le psychodrame des «vaccins», ces thérapies géniques expérimentales dont la Commission européenne a commandé 4 milliards de doses, dit-on, pour 40, 50 ou 70 milliards d’euros, on ne compte plus, c’est-à-dire 10 injections par Européen, d’un machin qui ne bloque pas la transmission d’un virus probablement élaboré dans des labos en Chine, aux USA ou en Ukraine… Qui sait !

Là, les gens sont devenus fous furieux. Les plus piqués voulaient que tout le monde le soit… de gré ou de force. Nombre de médecins de plateau corrompus, d’éditorialistes chiens de garde de la doxa, de politiques véreux… exigèrent qu’on traîne au centre de vaccination, entre deux gendarmes, les récalcitrants à la piquouze. Le Président lui-même y alla de son souhait nauséabond «d’emmerder les non-vaccinés». La farce tournait à la chasse aux sorcières.

Et les non-Vaxx (dont je suis) ont en effet été sévèrement emmerdés (et le sont toujours pour certains). Les plus malchanceux y ont perdu leur job (pompiers, professionnels de santé…) quand les «comme moi» furent bannis des TGV, des avions, des restaurants, des cinémas et, parfois même, des hôpitaux. Tout ça pourquoi ? 6,5 millions de morts Covid en trois ans sur 8.000 millions d’êtres humains ! Quand on sait que le tabac tue 8 millions de personnes par an, 24 millions en 2020, 2021 et 2022, soit 4 fois plus que le Covid, il y a de quoi s’interroger sur les réelles motivations des élites dirigeantes.

Comme disait Raoult avant de se faire jeter de son IHU (après Perronne éjecté de son service d’infectiologie à l’hôpital de Garches et Montagnier expédié au Père Lachaise sans les honneurs dus à son rang de Prix Nobel de Médecine) : «Le mensonge prend l’ascenseur quand la vérité prend l’escalier».

Depuis quelques semaines, elle gravit pourtant les marches quatre à quatre. Aux USA, au Canada, en Israël, en Suisse, au Japon, les effets secondaires des injections s’invitent dans le débat, après avoir été occultés pendant deux ans. La Justice européenne s’intéresse enfin aux contrats passés avec Pfizer et Moderna sous le sceau du secret. Il n’y a qu’en France - un des pays les plus corrompus par Big Pharma et les cabinets conseil - que la chape de plomb musèle toujours les voies dissidentes et contestataires.

La vérité finira, chez nous aussi, par éclater, mais il sera trop tard. Le mal est fait… Les honnêtes gens ont perdu. Les enfoirés ont raflé les milliards et les honneurs. C’est dégueulasse !

De l'aveu même de Yuval Harari (proche conseiller de Klaus Schwab, le patron du Forum économique mondial de Davos) : «Cette pandémie est essentielle pour que la population accepte la surveillance biométrique», donc l'instauration d'un contrôle social généralisé. Pour occulter la révélation de ce sombre dessein, l’oligarchie mondialiste, par la bouche de Macron, nous promet aujourd’hui «la fin de l’abondance, de l’insouciance et des évidences», même une Troisième Guerre mondiale si nous ne sommes pas obéissants.

Ce que le toujours bien informé Jacques Attali appelle des «peurs structurantes» qui contraignent les peuples à accepter l'imposition d'un nouvel ordre mondial, dirigé par un gouvernement qui pourrait - selon Attali - siéger à Jérusalem, en Israël. La boucle complotiste est bouclée !

Il suffit de les écouter pour se faire une idée précise de l’agenda qu’ils déroulent pour nous orienter dans la voie qu’ils ont tracé pour nous. Nous sommes le troupeau. Ils sont les bergers. Et les médias sont leurs chiens… 

Alors que le virus fait toujours la Une de l’actualité, nous voici submergés par un tombereau de prévisions plus anxiogènes les unes que les autres. Aurons-nous de quoi nous chauffer cet hiver ? Trouverons-nous de quoi manger ? La Russie va-t-elle vitrifier Londres, Paris et Berlin ? La Troisième Guerre mondiale a-t-elle été déclarée le 24 février dernier ?

Comme l’avaient pronostiqué ces imbéciles de Gilets Jaunes fin 2018 début 2019, les prix explosent plus encore qu’ils ne le craignaient, les pénuries et coupures de courant menacent, et les médias menteurs amplifient leur travail de sape au service d’une hyper-classe qui se renforce et s’enrichit à mesure que les nuages réels ou imaginaires s’amoncèlent.

L’air devient irrespirable ! À ce train, ils réussiront à nous asphyxier.

Yves Barraud


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