Quatre clés pour comprendre le monde d’aujourd’hui… et de demain.
Vous êtes nombreux, une majorité probablement, à penser que le monde est trop complexe pour en saisir la substantifique essence, ses fondamentaux, ses règles qui ne devraient pourtant échapper à personne.
Toute tentative d’en rationaliser la compréhension se heurte à une invariable sentence : «Les choses ne sont pas si simples. Les raccourcis relèvent au mieux du populisme, au pire du conspirationnisme ou du complotisme».
Autrement dit : Votre essai, même judicieux et argumenté, est immédiatement disqualifié, proscrit. Eh bien, je m'y risque malgré tout.
Dans ce qui suit, je vous propose de désigner les ennemis de la Souveraineté du Peuple en quatre postulats, tout bêtes, tout simples (certains diront simplistes).
On avancera alors que mes «raccourcis» sont populistes, conspirationnistes, complotistes. Je le revendique. Parce que «Oui», je pense que le monde peut être appréhendé avec quelques clés de lecture que toutes et tous devraient détenir. C’est à cette conclusion que je suis arrivé après 7 années de lectures, de visionnages, d’archivages, de recherches, d’écrits, de suivi d’une actualité qui, chaque jour passant, confirme le bien-fondé de mes intuitions qui n’en sont aujourd’hui plus. Mais bien des convictions.
Cette apparente complexité qui nous rebute de prime abord, se fonde dans un creuset extrêmement circonscrit. Attaquons sans plus attendre cet exposé par lequel je me contenterai d’évoquer des idées-forces. Il vous reviendra de les approfondir si nécessaire. Les sources et références ne manquent pas. Toutes les informations sont accessibles. Je vous expose ici une méthodologie, un cadre de réflexion, un prisme, qui peut - si vous en acceptez l’augure - vous éclairer.
• Postulat 1 : Les médias n’ont aucun souci du bien commun de la majorité silencieuse.
Ils sont la propriété d’oligarques richissimes, les Bouygues, Niel, Bolloré, Drahi, Dassault, Pinault… qui n’ont pour souci que préserver les intérêts de l’hyperclasse du business et des affaires dont ils se revendiquent.
Pour quelles motivations ont-ils investi dans des entreprises qui, pour nombre d’entre elles, notamment dans la presse écrite, perdent de l’argent à l’instar de Libération ou du Monde ? Est-ce par philanthropie, par amour du pluralisme ? Allons, un peu de sérieux !
Tous les grands médias occidentaux et réseaux sociaux de la Toile sont au service de la propagande d’une élite dirigeante qui vise la défense de ses intérêts industriels et commerciaux. Les montants en jeu sont à ce point colossaux que ces médias aux ordres ne peuvent s'autoriser à relayer des voix dissidentes ou discordantes. Quand ils leur donnent la parole, c’est pour mieux les délégitimer.
Cette stratégie du «baiser qui tue» a fonctionné à l’occasion des dernières contestations et insurrections populaires… légitimes : Révolte des Gilets Jaunes, Réforme des retraites, Sauvegarde de l’hôpital, Rejet du Pass sanitaire… Les opposants pensent un temps être vus et entendus sur les réseaux d’information. Mais dès qu'est sifflée la fin de partie, sur injonction politique ou patronale (généralement les deux de concert), ceux qui croyaient encore en cette liberté d’opinion et d’expression factice, paient au prix fort leur naïveté.
Beaucoup en ont fait les frais ces derniers temps : le Gilet Jaune Jérôme Rodrigues, l’avocat François Boulo, l’universitaire Étienne Chouard, l’avocat Juan Branco. Plus récemment, les professeurs Montagnier, Raoult, Perronne, l’avocat Di Vizio… et tant d’autres.
Ils furent sous les projecteurs des médias, un temps «bienveillants», avant d’en être évincés comme des pestiférés dès qu’ils devinrent trop visibles, trop populaires. Les libres penseurs et les incorruptibles sont vite écartés s’ils n’acceptent pas de se soumettre aux règles de l’oligarchie. Car le système ne tolère qu’une opposition… contrôlée.
Nous ne pouvons rien attendre et espérer des médias mainstream (dominants). Ils ne sont pas au service des causes populaires. Ils fabriquent notre consentement à la domination d’une infime minorité, le fameux 1% que dénonçaient les mouvements «Occupy Wall Street» aux USA ou «Les Indignés» en France, il y a dix ans. Leurs instigateurs furent placés sous les projecteurs d’un pluralisme feint avant d’être mis sous l’éteignoir d’une reprise en main oligarchique : «La récréation est terminée ! Revenons aux affaires».
Et c’est ainsi que ces mouvements qui dénoncent l’accaparement de 90% des richesses par ce petit 1% sont, à chaque fois qu’ils se manifestent, relégués par touches insidieuses dans la rubrique faits divers alors qu’ils pointent le cœur des enjeux économiques, financiers, sociaux, environnementaux des sociétés contemporaines.
Cet effacement s’impose d’évidence dans les médias qui appartiennent au 1% qui ne tient pas à satisfaire les revendications populaires. Ou alors très partiellement. CQFD !
Dès lors que vous avez saisi et admis ce postulat, vous êtes contraint de vous instruire ailleurs, de glaner les informations sur d’autres réseaux, à la marge parfois, et tenter autant que possible de vous forger une opinion qui sera - par principe - dissidente à la doxa dominante. Qui a fait ce choix mesure à quel point le bulldozer propagandiste est d’une implacable influence. Y résister relève aujourd’hui d’un acte de bravoure, d’un acte de résistance qui exige des sacrifices, une rigueur, une persévérance que l’époque n’encourage pas.
Tout est fait pour vous distraire, vous détourner… Comment y échapper ?
Postulat 2 : Le Peuple a perdu sa souveraineté. Ses classes dirigeantes politiques et économiques y ont gagné une impunité totale. Elles sont aujourd’hui intouchables.
Vous pensiez que les principes mondialistes et européistes ont été posés aux fins de vous embellir l’existence. Certains y contribuent, admettons-le sans dogmatisme obtus. Pour autant, ils servent avant tout les intérêts de l’hyperclasse du business et de l’action politique.
La «libre» circulation des hommes et des marchandises bénéficient au capital, donc à celles et ceux qui le détiennent et financent leurs inféodés politiques. On ne compte plus les cercles d’initiés où tout ce petit monde se répartit les rôles et fixe le consensus autour duquel s’agrègent leurs intérêts oligarchiques. Ils ne se cachent pas.
On pense au Forum Économique Mondial de Davos, au Groupe Bilderberg, à la Commission Trilatérale, aux Young Leaders… sur la scène internationale. Au Dîner du Siècle en France. Ceci pour la partie «émergée» de l’iceberg des cercles d’influence. Leurs ramifications, elles, s’épanouissent dans les arcanes des pouvoirs profonds et secrets détenus par les loges maçonniques et les lobbies.
N’espérez pas accéder à un poste clé sans avoir été intronisé par l’un d’eux au préalable. Cet exemple suffira à vous éclairer :
• Emmanuel Macron : Invité au Bilderberg en 2014, ministre de Hollande trois mois plus tard • Christine Lagarde : Invitée au Bilderberg en 2010, Directrice générale du FMI en 2011 • Édouard Philippe : Invité en 2016, Premier ministre français en 2017 • Margaret Thatcher : Invitée en 1975, Première ministre britannique en 1979 • Bill Clinton : Invité en 1991, Président des États-Unis en 1992 • Angela Merkel : Invitée en mai 2005, Chancelière d'Allemagne en novembre 2005…
Les naïfs n’y verront que pures coïncidences. Les initiés saisiront la stupéfiante influence que ces réseaux d’affaires ont sur l’accession au pouvoir de nos dirigeants.
Mais intéressons-nous plutôt à ceux qui, en Occident, pensent encore que «la démocratie, c’est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple», selon la célèbre formule du président états-unien Abraham Lincoln, qui figure aussi dans la Constitution française : «Le principe de la République est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple».
Il y a bien longtemps que ce principe est bafoué tant, nous l’avons vu plus haut, les «interférences» des cercles d’influence sont nombreuses et d’une puissance incomparable avec le modeste contrôle que peut (encore) exercer le Peuple sur ses dirigeants.
Les cartes et les règles du jeu démocratiques sont à ce point brouillées que la souveraineté populaire s’efface un peu plus à mesure que se renforce l’emprise des institutions supranationales. On pense immédiatement, instinctivement, à l’Europe que la quasi-totalité de la classe politique, de l’extrême droite à l’extrême gauche, promet de réformer de l’intérieur tant il est admis par tous qu’elle dysfonctionne. Il n’en est rien et n’en sera rien pour une simple raison : les réformes des institutions européennes se prennent à l’unanimité des pays membres. Comme le confessait Jacques Attali, l’Europe a été conçue de telle manière qu’elle est «irréformable» et qu’il est quasiment impossible d’en sortir. Sauf si, à l’instar de la Grande-Bretagne, vous êtes très déterminé et que vous avez conservé… votre souveraineté monétaire, que la France a perdue en entrant dans la Zone Euro. Sa dépendance se creuse à mesure qu’elle s’endette et qu’elle revend ses réserves d’or.
Les grandes orientations des politiques économiques (les Gopé) en matière de commerce international, d’ouverture à la concurrence des marchés (de l’électricité, des transports ferroviaires…), de protections et prestations sociales (retraite, assurance-chômage…) sont fixées par l’Europe et s’imposent à nous avec ou sans consentement populaire. Même si une «réforme» inscrite à l’agenda est rejetée par 80% de la population d’un état membre, elle finira toujours par s’appliquer. Nos dirigeants ont compris que le temps, synonyme d’essoufflement des oppositions et manifestations, joue en leur faveur. Toujours.
Nos concitoyens n’ont semble-t-il pas retenu la cuisante leçon de 2005 quand ils rejetèrent à plus de 55%, par référendum, la Constitution européenne, qui fut adoptée deux ans plus tard, dans leur dos, par le Congrès (Assemblée nationale et Sénat réunis).
Le peuple français ne peut donc envisager un semblant de souveraineté qu’à la seule et unique condition d’un Frexit. Mais aujourd’hui, ses partisans représentés par François Asselineau (UPR) et Florian Philippot (Les Patriotes) pèsent moins de 3% des suffrages. Autant dire que notre sortie de l’Union n’est pas d’actualité.
La souveraineté populaire telle qu’elle s’exprimait naguère est morte et en cours d’inhumation. On le mesure à chaque fois qu’on ajoute une couche supplémentaire au mille-feuille des instances et autorités supranationales. Plus le temps passe, plus les centres de décision se dispersent, s’opacifient et s’éloignent. Le peuple ne contrôle plus rien. Il a été dépossédé de sa souveraineté par des dirigeants qui y ont gagné une impunité totale. Leurs trahisons aux intérêts de la Nation sont couvertes par notre assujettissement à des instances supérieures : Union et Commission européennes, CEDH (Cour des Droits de l’Homme), OTAN… Nous passerons sous silence ici les «instances occultes» des pouvoirs profonds et secrets évoqués plus haut.
Postulat 3 : Tout se décide ailleurs de l’aveu même de ceux qui nous gouvernent.
Cette compilation de déclarations authentiques, prononcées par des hommes politiques de tout premier plan, illustre ce postulat.
Leurs propos sont à ce point dérangeants, perturbants, qu’ils pourraient être affublés des qualificatifs «complotistes» et «conspirationnistes» qu’on attribue aux personnalités controversés de la «fachosphère», de l’acabit d’un Dieudonné, d’un Alain Soral, d’un Jérôme Bourbon, d’un Boris Le Lay… Accrochez-vous à votre ordinateur !
Sur les relations internationales :
• «Nous sommes dans une guerre sans mort mais une guerre à mort avec les USA» - François Mitterrand rapporté par Georges-Marc Benamou dans son livre «Le Dernier Mitterrand».
• «On est complètement manipulés. Vous avez des banques et des officines dont le travail est d’organiser la spéculation en Europe. Elles sont américaines en général. Le matin, elles se disent : Quelle monnaie ou quel pays attaque-t-on ?» - Valéry Giscard-d’Estaing, ancien ministre de l’Économie et des Finances, Président de la République, dans le Grand Journal de Canal+.
• «Les USA ne sont plus nos alliés. La France est vendue à la découpe aux intérêts étrangers…» - Arnaud Montebourg, ancien ministre du Redressement productif, interviewé par la chaîne Youtube Thinkerview.
Sur la Finance et les cercles d’influence :
• «Mon ennemi n’a pas de visage. Il n’a jamais été élu mais il gouverne. C’est la finance internationale» - François Hollande, meeting du Bourget 2012.
• «Nous n’avons pas le choix, c’est eux qui gouvernent» - François Fillon rapporté par Philippe de Villiers, qui désignait par ce «eux» le groupe Bilderberg qui réunit d’influents hommes d’affaires (voir plus haut).
Sur le lobby juif :
• «Je considère que le lobby juif, pas seulement pour ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes. Et je tiens à le dire publiquement» - Raymond Barre, Premier ministre pendant 4 ans et 8 mois, sur France Culture, dans l’émission «Le rendez-vous des politiques». Précision : Raymond Barre était marié à Ève Hegedüs, elle-même originaire d'une famille juive hongroise.
• «Les dernières paroles qu’il [Mitterrand] a prononcées comme Président de la République, c’est à moi qu’il les a dites : […] Vous constatez-là l’influence puissante et nocive du lobby juif en France. […] On ne met plus en doute, même quand on m’attaque avec une violence inouïe, que ces paroles aient été prononcées. Mais immédiatement après, on me dit, il les a peut-être dites mais il ne fallait pas le répéter. […] Mais pourquoi ?» - Jean d’Ormesson, journaliste, Académicien, proche de François Mitterrand. Extrait du magazine Apostrophes présenté par Bernard Pivot sur France2. Précision : François Mitterrand comptait un grand nombre de personnalités juives dans sa garde rapprochée (Jacques Attali, Jack Lang, Laurent Fabius…) et dans son entourage familial (il avait pour beau-frère l'acteur Roger Lévy, dit Roger Hanin).
Sur le nombre de musulmans en France :
• «On nous fait croire depuis 40 ans que les musulmans sont 5 millions dans ce pays. Comme si les 5 millions qui sont venus ces 40 dernières années, c’est-à-dire nos parents, n’avaient jamais fait d’enfants. Eh bien non, ils en ont fait. Pas seulement 1 ou 2, mais 3, 4, 5, 6, 7 ou 8. Et nous leurs enfants, nous avons fait des enfants derrière. Nous ne sommes pas 5 millions mais 15 à 20 millions dans cette société» - Azouz Begag, ancien ministre chargé de la Promotion de l'égalité des chances, en 2011, dans «L’Invité», émission de TV5 Monde.
Par ces huit déclarations, vous avez un résumé des forces qui s’affrontent sur la scène française et internationale, dans les registres de la guerre économique, des manipulations de la finance, du pouvoir des cercles d’influence et des lobbies, des réalités démographiques de l’immigration…
Il s’agit des thématiques capitales des grands débats politiques, économiques et sociaux que les Français sont appelés à trancher à l’occasion des élections. On comprend surtout que les enjeux de nos sociétés sont discutés ailleurs, dans d’autres sphères où la souveraineté populaire ne s’exerce pas. On peut même dire qu’elle en est exclue de l’aveu de personnalités de premier plan.
Cette exclusion tient en huit formules chocs : «Mon ennemi n’a pas de visage». «C’est eux qui gouvernent». «On est complètement manipulés». «Une guerre à mort». «Une influence puissante et nocive». «Monter des opérations indignes». «La France est vendue à la découpe». «Nous ne sommes pas 5 millions mais 15 à 20 millions». Voilà le programme des ennemis de la Nation et du Peuple souverain observé par trois anciens présidents de la République, deux Premiers ministres et deux ministres. Qui dit mieux ?
La commission anti-complot créée par Emmanuel Macron en cet automne 2021, devra - en premier lieu - se pencher sur les allégations paranoïaques de ses prédécesseurs aux affaires. Notamment François Hollande (l’homme qui l’a fait roi) et Arnaud Montebourg (qui l’a précédé au ministère de l’Économie). Le premier affirme haut et fort que c’est la finance internationale qui gouverne («nous manipule», précise Giscard-d’Estaing), donc la banque Rothschild à laquelle était associé le banquier d’affaires Macron Emmanuel. Le second assure qu’Emmanuel Macron, Secrétaire général adjoint de l’Élysée, puis ministre de l’Économie, a contribué à la grande braderie des fleurons de notre industrie, «en vendant la France à des intérêts étrangers». Rien que ça !
Dans quel registre classez-vous ces allégations si ce n’est celui du complotisme et du conspirationnisme ?
Plus récemment, on apprenait sur TV5 Monde, dans l’émission «Face aux Territoires» du 30 septembre 2021, que le Grand Maître de la Grande Loge de France (franc-maçonnerie), Pierre-Marie Adam, a occupé pendant 25 ans un poste de premier plan aux RG (Renseignements généraux), aujourd’hui DCRI (Direction centrale du Renseignement intérieur). Cette information confirme si nécessaire les liens étroits entre sociétés secrètes (ou «discrètes», qualificatif retenu par Pierre-Marie Adam), la police et l’armée. Cette révélation fracassante n’alimente-t-elle pas elle aussi une suspicion légitime, une défiance populaire, et par-là même le complotisme ? À l'évidence !
Le Peuple découvre que les institutions et les hommes chargés de veiller au respect de sa souveraineté sont entièrement inféodés (vendus ?) à des instances et organismes supranationaux (Union et Commission européennes, OTAN, CEDH, banques d’affaires et multinationales), à des cercles d’influence (Forum Économique Mondial de Davos, Groupe Bilderberg, Dîner du Siècle), à des sociétés «discrètes» (loges maçonniques) et à des lobbies. Autrement dit, aux réseaux du Pouvoir profond qui constituent la partie immergée de l’iceberg oligarchique, celle qui tire les ficelles dans l’ombre.
On comprend alors que la «souveraineté» n’est qu’une illusion, une chimère, visant à abuser celle ou celui qui s’en croit détenteur.
Le Peuple est un troupeau dirigé par le berger et ses chiens. La souveraineté du troupeau n’existe pas !
Postulat 4 : À marche forcée vers un Nouvel Ordre Mondial (NOM) et la dilution des Nations.
La France va disparaître et son Peuple, ses peuples doit-on écrire à présent, se dilueront dans le melting-pot planétaire, par cette «créolisation» chère à Jean-Luc Mélenchon ou ce métissage contraint que conteste Éric Zemmour.
Toute une frange de la population s’en réjouit, considérant que cette perspective nous soustraira au risque des conflits armés, des massacres et des génocides que génère l’exacerbation des nationalismes belliqueux. Cette perspective «enthousiasmante» ne galvanise pas que des femmes et des hommes de Gauche. En 2008, à l’école Polytechnique de Palaiseau, Nicolas Sarkozy fixait pour objectif à la France de «relever le défi du métissage». Quelques mois plus tard, en 2009 (le 16 janvier), le même déclarait : «On ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer. Car à travers le monde, les forces de changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes». Certes, Sarkozy évoquait ici un Nouvel Ordre Mondial financier qui lui semblait indispensable d’édifier suite de la «crise des subprimes» qui a provoqué un krach planétaire en 2007/2008. Cependant, les partisans du NOM et d’un gouvernement mondial qui «pourrait siéger à Jérusalem» (proposition de Jacques Attali) savent pertinemment que la première étape de leur avènement passe par la finance.
Ce sont les grands organismes (le FMI - Fonds monétaire international, la FED - Réserve fédérale des États-Unis, la BCE - Banque centrale européenne…) qui fixent l’agenda en Occident et bien au-delà. Même si ce Nouvel Ordre Mondial est - pour l’heure - une ambition que ne partage pas de puissants réfractaires, la Chine et la Russie, le camp occidental cherche à l’imposer aux Nations qui le composent et chez ses alliés africains, asiatiques, moyen-orientaux, sud-américains…
Sur le papier, l’intention peut paraître louable si ce NOM réduit les tensions et les conflits. Dans la vraie vie, ce n’est pas garanti. Loin s’en faut ! Dans l’état actuel du monde, un Nouvel Ordre Mondial ne peut s’imposer que par la force ou, à tout le moins, par la ruse et la manipulation des opinions nationales, chacune restant, instinctivement, attachée à ses valeurs et traditions. Ainsi, on découvrira que les réseaux d’influence décrits plus haut œuvrent à déstructurer les Nations pour les reformater. Il ne s’agit pas d’une vision complotiste. Ce plan est pleinement assumé par ses initiateurs parmi lesquels compte George Soros, milliardaire états-unien, fondateur de l’Open Society (une fondation qui, comme son nom l’indique, prône une société ouverte, sans frontières, et accompagne - organise, encourage ? - les flux migratoires vers l’Europe).
D’autres, à l’instar de Jacques Attali qui a conseillé François Mitterrand, Nicolas Sarkozy, François Hollande, et se vante «d’avoir fait» Emmanuel Macron, parient sur une «peur structurante» qui contraindra les Nations au Nouvel Ordre Mondial. «Peur structurante» qui pourrait bien être… une pandémie.
Voilà ce qu'écrivait Jacques Attali il y a 12 ans : «L’Histoire nous apprend que l’Humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur. […] La pandémie qui commence (celle du virus H1N1) pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. […] Une pandémie majeure fera alors surgir, mieux qu’aucun autre discours humanitaire ou écologique, la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme au moins intéressé. […] Il ne faudra pas oublier d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine - INÉVITABLE -, on institue des mécanismes de prévention et de contrôle […]. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial, donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial». (Extrait de la chronique «Avancer par peur» publiée dans L’Express, le 6/05/2009).
Les derniers, enfin, nous annoncent et nous préparent au grand reformatage de l’Humanité, à sa réinitialisation, au «Great Reset» comme on dit en anglais. C’est le cas de Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial de Davos. Un homme forcément très influent qui a publié récemment un ouvrage sur ce thème : «Covid-19 : The Great Reset».
Nul besoin d’être un cerveau malade «complotiste» et «conspirationniste» pour élaborer des théories délirantes sur les intentions de certains à nous manipuler pour écrire l’Histoire de l’Humanité dans le sens de leurs intérêts… qui ne sont pas les nôtres. Il suffit de les lire et de les écouter. Ils ne s’en cachent pas. Au contraire ! Pourquoi se cacheraient-ils puisqu’ils contrôlent tous les leviers du pouvoir, comme nous l’avons démontré dans les postulats 1, 2 et 3 : Les médias, la finance, les cercles d’influence, les forces de l’ordre, l’armée… Même leurs oppositions sont contrôlées.
Les dissidents trouvaient jusqu’à présent refuge sur la Toile, sur les réseaux sociaux grand public (Youtube, Facebook…). Mais depuis deux ans, une implacable censure s’est abattue, contraignant les vrais opposants à migrer contraints et forcés sur des plateformes alternatives, comme Odysee, Aparat, BitTube, Rumble… qui sont mal (ou pas) référencées par les moteurs de recherche, à commencer par Google la maison mère de… Youtube.
Une fois posés les quatre postulats que nous avons ici évoqués (il vous revient de les approfondir), on comprend que les ennemis de notre liberté, de notre souveraineté, n’ont jamais été aussi hégémoniques depuis l’entame de l’Histoire de l’Humanité. La technologie digitale que l’on espérait émancipatrice est un piège, même si beaucoup d’entre nous s’estiment aujourd’hui libres et autonomes dans leurs choix. Mais cette liberté est ténue, trompeuse. Demain peut-être, demain certainement, toute votre existence, votre subsistance, tiendra dans un passeport numérique qui vous permettra de vous déplacer, de vous instruire, de vous distraire… Et surtout de vous soigner et payer ce dont vous avez besoin. Si vous ne remplissez pas les conditions d’obtention de ce Pass Vital, vous serez exclu de la société, abandonné à vous-même, contraint à disparaître… physiquement.
Sans doute estimez-vous cette conclusion délirante, extravagante, «complotiste». Ah bon ?
C’est ainsi qu’on qualifiait ceux qui, il y a un an, nous annonçaient une vaccination obligatoire et l’instauration d’un Pass sanitaire. CQFD
Yves Barraud
Si vous souhaitez approfondir les thématiques effleurées ici, voici une liste d'articles mis en ligne sur Actuchomage. Mais nous vous encourageons à faire vos recherches par vous-même. Les sources dissidentes ne manquent pas, bien qu'elles se tarissent peu à peu sous les coups de boutoir de la censure, comme nous l'avons évoqué.
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