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Comment Macron dissout la France

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Dix sous, c’est pas cher…

altChapeau l’artiste !

Emmanuel Macron est le champion toutes catégories des traitres à la Nation, à la Patrie et aux Français.

En moins de 7 ans, il en a fait plus pour dissoudre la France et sa souveraineté que Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande réunis. Auxquels on peut adjoindre Giscard d’Estaing… C’est peu dire !

«La pute de chez Rothschild», allusion aux confidences de son mentor Alain Minc (1), a littéralement atomisé tout ce qui faisait la grandeur de la France : Son art de vivre, sa culture, ce qui lui restait d’industries, sa sécurité, son indépendance énergétique, diplomatique et militaire… En deux mots : Son rayonnement.

Parce que, disons-le sans détour, Emmanuel Macron n’en a rien à foutre de la France.

Depuis l’âge de 14 ans, il est sous l’emprise d’une femme de 24 ou 25 ans son aînée, qui - circonstances aggravantes - était sa professeure. Ce président n’a pas d’enfant, pas plus que son Premier ministre homosexuel assumé, et se targue pourtant de préparer l’avenir dans lequel il ne se projette guère. Le «en même temps» a ses limites…

Mais ceci est finalement anecdotique tant Emmanuel Macron a abimé tout ce qui faisait la grandeur d’un pays qu’il n’aime pas.

Ses déclarations en attestent, notamment la dernière. Il y a quelques jours, Le Monde révélait que Macron aurait tenu les propos suivants à un interlocuteur qui lui demandait s’il n’était pas trop affecté par sa défaite aux élections européennes : «Mais pas du tout ! Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes (la dissolution de l’Assemblée). Maintenant, on va voir comment ils s’en sortent

Quand on balance une grenade dégoupillée, c’est rarement pour répandre le bien autour de soi. Ça traduit une farouche volonté de mutiler, d’estropier et de tuer. Voilà qui en dit long sur la psyché du personnage, sur sa perversité maladive. Par ses mots, on mesure à quel point Emmanuel Macron déteste les Français.

Cela n’a rien d’étonnant de la part d’un banquier d’affaires missionné par l’hyperclasse mondiale pour dissoudre son pays et le dépecer en vendant ses biens à la découpe. Cela fait des années qu’ici, sur Actuchomage, nous tentons (sans grand succès) d’alerter l’opinion sur les conséquences désastreuses des agissements de ce traitre et de ceux qui l’ont précédé. Car il n’est évidemment pas le seul coupable.

Mais incontestablement, la désintégration de la France en tous domaines s’est accélérée depuis sa nomination au poste de ministre de l’Économie sous François Hollande, puis à l’occasion de son élection à la présidence.

Ainsi, le 8 octobre 2019, nous vous narrions "Une brève histoire du Grand Effondrement", article par lequel nous détaillons notre déliquescence dans les domaines clés de la santé, de l’éducation, de l'enseignement supérieur, de l’innovation scientifique, technologique et industrielle… qui nous inspira cette conclusion : «Les Français assistent impuissants à leur effondrement. Concurrencés à l’intérieur même de leurs frontières, ou de ce qu’il en reste, par des populations venues d’ailleurs. Concurrencés à l’extérieur par des pays qui nous mènent une guerre économique et technologique sans merci, sur fond de dumping social, financier et fiscal. Nous sommes écrasés entre le marteau et l'enclume. Nous perdons la bataille…».

Un mois plus tard, le 4 novembre 2019, nous expliquions pourquoi "La France est la cible prioritaire de l’oligarchie mondialiste". Nous nous fondions sur les déclarations de plusieurs Présidents de la république et Premiers ministres (Mitterrand, Giscard, Barre, Hollande…) qui en attestent. Un florilège des plus révélateurs que nous pouvons aujourd’hui compléter avec le témoignage de François Fillon devant la commission d’enquête parlementaire sur les ingérences étrangères, en mai 2023 :

«Oui, j’ai rencontré des ingérences étrangères. La plupart du temps, elles venaient d’un pays ami qui s’appelle les États-Unis […]. J’ai été écouté avec le Président Sarkozy pendant 5 ans par la NSA. […] Mais il y a une ingérence américaine qui me pose problème, qui est la plus sérieuse quant à ses conséquences, c’est le principe d’extraterritorialité de la justice américaine» (qui permet à l’administration états-unienne de sanctionner lourdement les entreprises européennes qui commercent avec certains pays. Cette extraterritorialité impérialiste a fait perdre d’énormes contrats et marchés à l’industrie française en Iran, en Russie et même aux USA…).

Notre soumission aux diktats états-uniens a été confirmée par Arnaud Montebourg, toujours en 2023, devant la commission d’enquête sur la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France. Montebourg y a dénoncé la trahison des élites. L’ancien ministre de l’Économie a pointé du doigt les dirigeants des entreprises françaises cédées à des groupes étrangers telles que Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel et Essilor. Il a dénoncé la perte de compétences et de savoir-faire engendrée par la vente de ces entreprises, autrefois leaders mondiaux dans leur domaine respectif, et l’impact délétère sur les PME françaises qui travaillaient pour ces grandes entreprises.

Montebourg nous a offert un morceau d’anthologie lors de son audition : «Est-ce que vous connaissez le tarif de la trahison de la France ? C’est entre 10 et 15 millions. Voilà, c’est le prix de la trahison de la France !» (Ces montants correspondent aux sommes perçues par les patrons français qui ont négocié la vente à l’étranger, principalement aux USA, de leurs groupes industriels qui pesaient plusieurs milliards d’euros).

Arnaud Montebourg n’en est pas resté là. Il a également critiqué la Commission européenne pour sa politique de concurrence excessive. Il l'a qualifiée de «talibans du droit» et martelé que «La France n’est pas l’outil des expérimentations dogmatiques et idéologiques de la Commission européenne». […] Il fustigeait ici le dogme ultra-libéral de mise en concurrence forcée d’entreprises stratégiques qui étaient jadis en situation de monopole, à l’instar d’EDF. Cette concurrence artificielle imposée par Bruxelles, sans fondement économique, s’est traduite par une déstructuration du marché de l’électricité, une flambée des prix et une fragilisation de l’opérateur historique.

Un an plus tard, le 1er novembre 2020, nous élargissions notre analyse. Notre article "Le Grand Effondrement à Marche forcée" listait les quatre crises majeures qui menaçaient alors : La crise sanitaire, celle de l’endettement abyssal de la France consécutif au «quoi qu’il en coûte» macroniste, la crise sociale (qui s’est exprimée lors de la révolte des Gilets Jaunes, puis plus tard contre la réforme des retraites) et enfin la dislocation accélérée de la Nation en communautés irréconciliables (confirmée lors des émeutes de juin 2023).

Le 3 mai 2021 (un an avant les présidentielles de 2022), nous annoncions la couleur : "Macron, le pantin de l'oligarchie, en marche vers sa réélection", un article où nous décrivions l’inconsistance du parcours d’Emmanuel Macron qui n’a brillé que par son aptitude à «vendre la France à la découpe», selon la formule d'Arnaud Montebourg, son prédécesseur à Bercy.

Quelques mois plus tard, le 4 octobre 2021, nous mettions en ligne un article intitulé : "La Souveraineté du Peuple est morte et enterrée". Un enterrement de première classe qui repose sur quatre postulat : 1) Les médias n’ont aucun souci du bien commun de la majorité silencieuse. 2) Le Peuple a perdu sa souveraineté. Ses classes dirigeantes politiques et économiques y ont gagné une impunité totale. Elles sont aujourd’hui intouchables. 3) Tout se décide ailleurs de l’aveu même de ceux qui nous gouvernent. 4) À marche forcée vers un Nouvel Ordre Mondial (NOM) et la dilution des Nations.

Le 22 octobre 2022, nous publions en Une du site un article intitulé "Covid, Injections, Pénuries, Guerre… la Grande Manip’ ne s’arrêtera plus !" où nous observions que de 2018 à 2022, jamais l’opinion n’a été à ce point manipulée, sur une telle durée, avec pareille intensité. Même au plus chaud de la Guerre froide, le rouleau compresseur propagandiste était moins insistant en Occident. Nous avions vu juste puisque la Grande Manip’ s’amplifie encore depuis 2022, sur fond de conflits en Ukraine et en Palestine, d’émeutes urbaines en juin 2023, de dissolution de l’Assemblée en 2024, et d’une possible pandémie qu’on nous promet bien plus dévastatrice que la Covid-19. Quel programme enchanteur !

Enfin, en point d’ordre de cette avalanche de tensions nationales et internationales, nos dirigeants à la tête desquels on retrouve Emmanuel Macron, nous préparent à la Troisième Guerre mondiale tout simplement… Enthousiasmante perspective à laquelle nous consacrâmes un article le 18 décembre 2023, intitulé : "La Troisième Guerre mondiale dans le viseur du complexe militaro-industriel", en nous fondant sur les craintes exprimées par deux anciens présidents états-uniens : Dwight Eisenhower et plus récemment Donald Trump.

Depuis 2019, nous subissons l’accélération du déclin français qu’Emmanuel Macron incarne parfaitement tant il est tout à la fois d’une envergure historique insignifiante et d'une perfidie redoutable pour le mener à bien. Il excelle dans le sabotage et le sabordage de notre pays. Son efficacité n’est hélas pas à démontrer.

Comme nous l’avons écrit en introduction, Emmanuel Macron a été missionné en qualité de liquidateur de la France par les fonds d’investissements états-uniens (BlackRock, Vanguard…), les banques d’affaires (Rothschild et consorts) et ses amis du CAC40.

Celui qui a exercé un «métier de pute» (1) va pomper la France jusqu’à la dernière goutte…

YB

(1) Alain Minc confiait à l’équipe d’Envoyé Spécial, l’émission de France 2, en décembre 2016 : «J’ai dit à David de Rothschild : Il faut prendre Macron à tout prix ! Parce qu’il était exceptionnellement charmant et intelligent, et que ce sont les qualités d’un banquier d’affaires. Un banquier d’affaires doit être intelligent, souple, rapide. Si en plus il est charmant, parce que c’est quand même un MÉTIER DE PUTE !».

Mis à jour ( Dimanche, 23 Juin 2024 17:46 )  

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