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Accueil Social, économie et politique La préférence nationale est une priorité ABSOLUE !

La préférence nationale est une priorité ABSOLUE !

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Trump a montré la voie. Il nous reste à trouver le Trump français. Ce n’est pas gagné !

altQuand on est États-Unien (habitant des USA), comment ne pas être trumpiste ? 
 
Oui l’homme a de nombreux défauts mais il a une qualité qui les effacent tous : Il veut rendre l’Amérique et les Américains plus forts.
 
C’est sur cette promesse, cette «révolution du bon sens», que Donald Trump a été triomphalement élu. Les classes populaires n'en pouvaient plus d'être méprisées par des hommes politiques et une oligarchie mondialistes.
 
En Europe, dans le vieux monde qui se meurt, les élites restent accrochées aux dogmes globalistes qui exècrent toute idéologie patriote. En Grande-Bretagne, en Allemagne, en France, les peuples autochtones, entendez par-là les Britanniques, Allemands et Français de souche, sont souvent relégués en citoyens de seconde zone.
 
Mais l’exaspération enfle. Partout les partis souverainistes et patriotes, «trumpistes» en quelque sorte, progressent sans pour autant prendre le pouvoir à quelques rares exceptions, comme en Italie, en Hongrie et peut-être bientôt en Roumanie.
 
L’Europe de l’Ouest et la France en particulier se refusent à privilégier les intérêts de leurs peuples par implémentation du principe de «préférence nationale» dans tous domaines régaliens : Protectionnisme économique, défense de l’emploi, ré-industrialisation, politique étrangère et diplomatie, accès aux droits sociaux (chômage, santé, retraite, logement…).
 
Pourtant le seul intérêt des Français devrait être la priorité. C’est sur ce postulat de bon sens que Donald Trump fonde les orientations de sa politique.
 
En France, nos dirigeants privilégient au contraire les intérêts de l’étranger. Depuis 30 ans, «notre industrie est vendue à la découpe» selon l’expression d’Arnaud Montebourg (ancien ministre du Redressement productif). La désindustrialisation se poursuit malgré les promesses d’Emmanuel Macron pendant le Covid. La France est un contributeur net à l’Union européenne (elle donne beaucoup plus qu'elle reçoit). Et tous les mois, nous fournissons des armes et des milliards à l’Ukraine de Zelensky que nous ne récupèrerons jamais.
 
Pendant ce temps, des millions de Français sombrent dans la précarité et la pauvreté alors que notre pays accueille chaque année des centaines de milliers de migrants légaux et illégaux.
 
Nous manquons de tout, d’emplois, de formations aux métiers de demain, de lits d’hôpitaux, de logements sociaux… mais nous accueillons encore et toujours plus.
 
Des dizaines de milliers de Français à la retraite, notamment beaucoup d’agriculteurs, survivent avec moins de 900 euros par mois, à peine 11.000 euros par an, quand un «mineur isolé» entré illégalement sur le territoire coûte 50.000 euros par an à la collectivité. Cinq fois plus !
 
Un bénéficiaire du RSA touche 7.500 euros par an, quand un clandestin incarcéré pour un délit coûte à la collectivité 30.000 euros. Quatre fois plus !
 
L’AME (aide médicale d’état) permet à quasiment toute personne EN SITUATION IRRÉGULIÈRE présente sur le territoire de bénéficier de soins gratuits quand des millions de Français modestes en sont de leur poche pour se soigner.
 
Enfin, des centaines de SDF et des millions de mal-logés doivent patienter parfois plus de 10 ans pour obtenir un logement social quand des dizaines de milliers de migrants légaux et clandestins, avec leurs familles, y ont accès en moins de deux ans.
 
Les témoignages de SDF français fleurissent sur Internet. Beaucoup (et parmi eux des femmes) déclarent être à la rue depuis 4 ans, 6 ans, 8 ans, et recevoir pour toute réponse à leur demande de logement : «Vous n’êtes pas prioritaire !».
 
Mais qui est prioritaire ? QUI ? Les étrangers extra-européens !
 
C’est ce que démontre l’ancien préfet Michel Auboin dans son rapport sur les HLM en France, publié par Fondapol et l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (1).
 
Tout simplement parce que ces étrangers sont originaires de pays sous-développés (Niger, Mali, Comores, Somalie, Afghanistan…) et qu’ils sont donc plus pauvres que les Français très modestes. Par ailleurs, ils ont souvent une famille (parfois nombreuse) restée au pays qu’ils rapatrieront en France par le regroupement familial. Ainsi, des migrants parfois entrés illégalement sur le territoire disposent d’un logement social un an ou deux ans après leur première demande, quand des Français s’en trouvent exclus pendant 7 ans ou plus.
 
Le rapport «Les étrangers extra-européens et le logement social» (1) précise aussi : «Si l’on veut éviter que soient discriminées dans l’accès au logement social les familles d’origine française, un critère de correction comme la durée de présence en France devrait utilement compléter la liste de ceux pris en compte pour le classement des demandes». Mais cela ne fonctionne pas du tout comme ça. 
 
Partons d’un exemple concret. 
 
En mars 2017, un Français de 56 ans, nous le nommerons Gilles, dépose une demande de logement social. 
 
Gilles a travaillé sans discontinuer pendant 27 ans. À 50 ans, il est licencié. Il perçoit l’ARE (Allocation d’aide au retour à l’emploi) puis, arrivé en fin de droits, l’ASS (l’Allocation de solidarité spécifique, qui correspond grosso modo au RSA mais lui ouvre des droits à la retraite).
 
Disposant de moins de 600 euros par mois, il est contraint d’abandonner son logement pour s’installer alternativement chez des amis, dans sa famille, chez ses parents. En novembre 2020, il est reconnu «prioritaire au logement» par la commission DALO (Droit au logement opposable). Pour autant sa situation n’évolue pas.
 
Il saisit alors le Tribunal administratif qui, en février 2022, ordonne au préfet de le reloger d’urgence, sous astreinte de 200 euros par mois de retard à partir de mai 2022. Mais sa situation reste inchangée.
 
En 2023, Gilles engage une procédure indemnitaire devant le Tribunal administratif qui condamnera, en mai 2024, l’État français à lui verser une indemnité (dérisoire au regard du préjudice subi) de 1.500 euros, frais d’avocat compris. Pour autant, rien ne bouge ! Il est toujours hébergé à droite à gauche en fonction des opportunités.
 
Figurez-vous qu’au 8 mars 2025, l’État ne s’est toujours pas acquitté de sa condamnation.
 
Notre mal-logé français, âgé à présent de 64 ans, se verra contraint d’engager une nouvelle procédure indemnitaire en mai 2025 pour tenter de débloquer son dossier.

INCROYABLE ! (Nous avons eu accès à toutes les décisions officielles rendues lors de ce parcours du combattant).
 
Nous avons là le parfait exemple d’une discrimination à l’accès au logement d’un monsieur qui a payé des cotisations sociales et des impôts sur le revenu pendant plusieurs décennies mais qui n’est pas prioritaire. PAS DU TOUT !
 
Pourtant, depuis 2017, année où Gilles a déposé sa première demande de logement social, des milliers de ressortissants étrangers arrivés sur le territoire en ont obtenu un.
 
Comment s’y sont-ils pris ? Ont-ils bénéficié d’un accompagnement spécial qui leur garantit une priorité au logement ? 
 
Nous connaissons la réponse ! Il existe INCONTESTABLEMENT une prime au dernier arrivant. Faute de quoi, ils seraient des centaines de milliers à dormir dans la rue en France, parfois avec femmes et enfants. Et ce n’est pas le cas ! Certes, beaucoup trop de gens dorment dans des camps de fortune en périphérie des métropoles mais quand même. Depuis 2017, la France a accueilli plus de deux millions de migrants légaux. Et ne parlons pas des illégaux. La grande majorité de ces personnes ont trouvé un hébergement, notamment en HLM. Mais pendant ce temps, des milliers de Français, eux, ne disposent pas d’un logement décent. C’est tout simplement inadmissible !
 
Le rapport «Les étrangers extra-européens et le logement social» (1) précise que : «Le système est totalement bloqué. Les gouvernements successifs appellent à augmenter le nombre des logements sociaux, en vain. En tout état de cause, ce nombre ne pourrait répondre à une demande alimentée par une immigration de masse, où le volume des nouveaux arrivés est deux ou trois fois plus important que la capacité à construire de nouveaux logements». En d’autres termes, la France est dans l’incapacité de loger décemment toutes celles et tous ceux qu’elle accueille chaque année. Et ce sont les Français les plus modestes, de toutes origines et de toutes confessions, qui en font les frais.
 
Seule la préférence nationale à l’accès aux logements sociaux permettrait à Gilles d’obtenir le sien. Eh bien non ! 
 
Combien d’années devra-t-il encore patienter ? Combien de migrants arrivés parfois illégalement en bénéficieront-ils alors que Gilles en est exclu ?
 
La préférence nationale est «une révolution de bon sens». Il n’est que temps de l’appliquer en France !
 
Yves BARRAUD 
 
 
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Mis à jour ( Dimanche, 09 Mars 2025 15:27 )  

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