Actu Chômage

Pas seulement sur la place de l'Opéra devant les CRS mais aussi tout au long des parcours des manifestations de jeudi dernier, ils étaient nombreux à oser réclamer la démission du plus mauvais président de la Ve République. Démission que, bien entendu, ce petit homme ivre de pouvoir n'a nullement l'intention de remettre...

Bien qu'il en caresse vigoureusement l'idée, la France ne fonctionne pas comme une entreprise : s'imagine-t-il seulement que ça vaut mieux pour lui ? Dans notre système dit «démocratique», nos élus ne sont pas aisément révocables. Certains, malgré leurs exactions, sont même indéboulonnables ! S'il inverse les rôles en se prenant pour le patron de France SA, il oublie, pourtant, que c'est bien l'argent des Français qui lui fournit salaire, train de vie et autres avantages. C'est donc bien aux Français qu'il doit des comptes.

Si la France fonctionnait comme une entreprise digne de ce nom, aujourd'hui, une majorité de Français le licencierait. Insuffisance professionnelle, incompétence, absences répétées ou prolongées, attitude constituant des troubles objectifs caractérisés, comportement préjudiciable au bon fonctionnement de la France et au bien-être de ses citoyens : réels et sérieux sont les griefs qu'on peut retenir contre lui dans l'exercice de ses fonctions et qui nécessiteraient la «rupture»… de son contrat présidentiel.

Notification de licenciement «pour causes réelles et sérieuses» adressée par le peuple souverain à M. Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOCSA.

Au cours de la mobilisation préalable du 29 janvier 2009, vous avez été informé que le peuple français envisageait une mesure de licenciement à votre égard. Votre réponse télévisuelle du 5 février 2009 ne nous ayant apporté aucun élément nouveau et satisfaisant quant à votre action au sein de la République française, nous avons la joie indiscutable de vous notifier votre licenciement pour les raisons suivantes :

=> A lire absolument sur le blog de Monolecte

Autres preuves d'une incompétence manifeste => LE BÊTISIER PRÉSIDENTIEL
Errare humanum est. Perseverare diabolicum.