Le montant énorme des indemnités réclamées retient l’attention : au total, 559.585 €. Un montant qui n’est pas banal, surtout pour une assistante de direction. Donc d’extraordinaires indemnités pour solder une affaire qui est encore moins banale, à dire vrai une histoire folle, et une histoire de fou au sens strict du terme. Il faut dire que l’adversaire est tout aussi peu banal puisqu’il s’agit de la Société Louis Vuitton Services, une des pièces du puzzle LVMH — Louis Vuitton Moët Hennessy contrôlé par un des hommes les plus riches de France, Bernard Arnault et sa famille.
Le fond de l’affaire est encore plus singulier, puisque la plaignante reproche à son employeur… de ne pas l’avoir licenciée. Et de ce fait de la priver d’une foultitude de droits sociaux et financiers qui auraient découlé d’un licenciement en bonne et due forme.
A première vue, cette histoire est ahurissante, et même difficilement crédible dans un groupe financier et industriel aussi puissant, sans aucun doute peuplé des plus fins juristes possibles. Et pourtant...
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