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En effet, la période d'essai n'a qu'un seul but : apprécier les capacités professionnelle du salarié. Toute rupture pour d'autres motifs doit être traitée comme un licenciement.
Lorsqu'un employeur, pour faire des économies en cas de crise, réduit sa masse salariale en décidant d'interrompre des périodes d'essai, il est supposé respecter les règles du licenciement économique (ce qui n'est jamais le cas). Malgré une législation assez floue, la Cour de cassation a condamné deux fois, en octobre et en novembre 2007, des employeurs ayant rompu des périodes d'essai pour des motifs visiblement économiques. Dans un de ces arrêts, un salarié a obtenu 35.000 € de dommages et intérêts.
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