«Se substituer au patron, au départ, c’est plus de travail. Mais au moins, c’est du travail !», disent-ils. Coopératives, SAL ou SLL, les exemples d'autogestion réussie ne manquent pas, en France comme à l'étranger. Et au bout de trois ans, leur taux de survie est de 67%.
Pourtant, alors que les gouvernements de l’Union européenne semblent impuissants à sauvegarder ou à créer des emplois, ce mouvement d’auto-emploi collectif est peu, voire pas encouragé. On se demande pourquoi...
=> Lire l'excellente analyse de Cécile Raimbeau pour Le Monde Diplomatique
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