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Accueil Social, économie et politique Un SDF meurt frigorifié dans sa voiture

Un SDF meurt frigorifié dans sa voiture

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Victime de la précarité, un homme de 38 ans, sans emploi ni domicile fixes, a été retrouvé mort frigorifié dans sa voiture hier matin à la Grande Résie près de Gray (Haute-Saône). Le véhicule était garé à l'orée d'un bois, loin de toute habitation.

Sylvain Schiltz, sans emploi, avait été expulsé par les gendarmes la veille de la suspension annuelle des expulsions locatives dans le cadre de la "loi d'hiver", le 31 octobre dernier. Malgré quelques missions d'intérim, ses revenus étaient trop faibles pour continuer à payer son logement de Dampierre-sur-Salon. Il errait depuis dans son véhicule avec toutes ses affaires, après avoir confié ses meubles à un collègue de travail qui ne pouvait le loger. Depuis cette expulsion, il s'était replié sur lui-même et n'avait demandé aucune aide, pas même à ses parents qui demeurent en Meuse, ni au maire de Dampierre qui s'était dit prêt à l'aider.
Selon l'expert légiste, il serait mort soit d'un arrêt cardiaque, soit d'hypothermie dans la nuit de mercredi à jeudi où les températures ont atteint -3 degrés celsius dans la région de Vesoul.

A part ça, comme dirait Patrick Balkany, "Nous n'avons pas de misère en France. Il n'y a pas ce que vous appelez les pauvres. Bien sûr, il y a bien quelques sans domicile fixe qui eux ont choisi de vivre en marge de la société. Et même ceux-là, croyez moi, on s'en occupe : il y a des foyers d'accueil parce que en hiver en France aussi, il fait froid et il n'est pas question de laisser dehors les gens qui sont dans la misère donc nous leur donnons des asiles (…) on leur donne tout ce dont ils ont besoin. Mais ce sont des gens relativement rares qui ont décidé une bonne fois pour toute qu'ils étaient en marge de la société, qu'ils ne voulaient pas travailler ou qu'ils avaient été rejetés par la société."
Et quand Laurence Parisot déclare - bien au chaud - que "La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ?", à ce point, C'EST CRIMINEL.

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Mis à jour ( Vendredi, 25 Novembre 2005 16:06 )  

Commentaires 

 
0 # Yves 2005-11-25 18:32 Un article d'Actuchomage - février 2005.

…/…

Quand les "chômeurs fainéants" se suicident… (ou meurent de froid)

Les propos tenus le 2 février dernier à l’Assemblée nationale par M. Auclair, député UMP de la Creuse, sont d’autant plus inacceptables qu’ils furent prononcés au moment où les responsables des associations de prévention du suicide s’évertuaient à tirer la sonnette d’alarme.

"Mais ils ne veulent pas travailler, les chômeurs. Etre payés à ne rien faire, c’est cela qui les intéresse !", a lancé ce député irresponsable.
Et "mourir de ne rien faire" cela intéresse-t-il aussi ces "fainéants" de chômeurs ?
Chaque année en France, 160.000 personnes tentent de mettre fin à leurs jours. 12.000 y parviennent *. Le suicide est plus meurtrier que les accidents de la route.

En 30 ans, le taux de suicide a fortement augmenté : il est passé de 1,73 à 2,13 pour 10.000 habitants. Si les femmes et les jeunes sont les plus nombreux à tenter de mettre fin à leurs jours, les décès concernent surtout les hommes (3 suicides sur 4) et notamment les 25/55 ans.
Le chômage, la précarité et leurs conséquences en sont-ils une cause ? L’affirmative s’impose d’évidence même si les études portant sur ce facteur sont rares. Si aucune corrélation directe n’a été établie entre le nombre de suicides et la courbe de l’activité économique, quelques événements forts semblent peser : ainsi le pic de mortalité de 1976 serait lié à la hausse du chômage consécutive à la crise pétrolière et aux angoisses suscitées par cette période de grandes incertitudes ; le pic de 1993 correspond aussi à une année de forte récession.

Pour notre part – Actuchomage – nous avons pu mesurer à maintes reprises les conséquences désastreuses d’une longue période d’inactivité forcée. Nous avons eu l’occasion de croiser des copines et des copains marqués par des symptômes extrêmement préoccupants : dépression, asthénie, prise de poids, alcoolisme, sautes d’humeur… Certaines personnes rencontrées ces dernières années dans les manifestations et autres rassemblements de chômeurs nous ont quittés.

Monsieur Auclair et tous ceux qui stigmatisent les "chômeurs fainéants" seraient bien inspirés de modérer leurs propos car il est certain que le chômage, la précarité, et leurs corollaires : l’exclusion et l’isolement, poussent des dizaines, voire des centaines de Françaises et Français, à mettre fin à leurs jours. Alors respectez la mémoire de toutes celles et tous ceux qui ont souffert, SVP !

* L’INSERM évalue à 10.000 le nombre de suicides en 1999. Mais ce chiffre serait plus proche des 12.000. L’évaluation du nombre de suicides est complexe : les causes de décès ne sont pas toujours clairement identifiées. On estime ainsi à 20 % cette sous-estimation.
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0 # tristesir 2005-11-26 03:26 "ni au maire de Dampierre qui s'était dit prêt à l'aider."
si cet homme n'avait demandé d'aide à personne, pourquoi le maire de sa ville
aurrait voulu l aider? je suppose qu'il voulait l aider apres que la nouvelle de
la mort de cet homme fût connue?
Je me demande si les gendarmes qui l'ont expulsé et le proprietaire qui a demandé
l'expulsion ont reussi à dormir la nuit qui a suivit la nouvelle du deces de cet homme.



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0 # tristesir 2005-11-26 07:34 La liste s'allonge…


Un SDF mort de froid à Grenoble
ven. nov. 25, 2005 7:23 CST

LYON (Reuters) - Un SDF a été retrouvé mort de froid dans l'agglomération grenobloise, apprend-on auprès du groupement de gendarmerie de l'Isère.

C'est la police municipale qui a découvert sous un pont au cours de sa tournée, vers 14H30, le corps sans vie de cet homme de 57 ans. Il vivait dans la rue depuis plusieurs années.

Depuis l'arrivée, il y a une semaine, du froid à Grenoble, il avait systématiquemen t refusé les propositions d'hébergement qui lui avaient été proposées, selon la gendarmerie.

Vendredi, dans la journée, la température est descendue à -3°C à Grenoble.

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0 # superuser 2005-11-27 17:39 2005-11-27 14:39:23
PARIS (AFP)
Trois sans-abris ont été tués dans la vague de froid des cinq derniers jours, tandis que la neige qui a balayé toute la France depuis mercredi semblait devoir se cantonner dimanche aux régions froides de l'est.

Un homme de 58 ans sans domicile fixe a été découvert, mort d'hypothermie, samedi dans un garage à Calais (Pas-de-Calais), a indiqué la préfecture. Deux autres hommes, âgés de 38 et 48 ans, ont été tués par le froid depuis mercredi, l'un en Haute-Saône, dans sa voiture où il vivait, et l'autre sous un pont de la banlieue de Grenoble.

Le garage où la dernière victime avait l'habitude de s'abriter avait été incendié en octobre et n'a pu le protéger du vent. Un vent potentiellement fatal, qui renforce l'action du froid en dispersant la chaleur du corps humain. La température était d'environ six degrés samedi à Calais, mais avec beaucoup de vent, selon Météo-France.

Le Pas-de-Calais fait partie des 42 départements où le niveau 2 du plan grand froid, qui prévoit des places d'accueil supplémentaires pour les sans-abris et le renforcement des équipes de secours, est désormais en oeuvre.
Ce niveau est déclenché lorsque la température ressentie (qui tient compte du vent) se situe entre -5 et -10°C la nuit et est négative le jour.

(…)
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0 # superuser 2005-11-28 02:15
Les autres, ils peuvent crever…


27-11 (AFP) 21:42:40
Le Premier ministre Dominique de Villepin a demandé dimanche soir que les SDF disposant d'un emploi puissent être accueillis au moins un mois dans les centres d'hébergement d'urgence pour sans-abri.

"Je demande immédiatement au 115 (Samu social, ndlr) de proposer un hébergement stable et une durée minimale d'un mois pour les personnes qui sont sans toit et qui ont un contrat de travail et sont confrontées à une difficulté spécifique pour se rendre à leur travail", a-t-il dit lors d'une visite du centre d'hébergement pour SDF du boulevard Ney (18è).

"Pour apporter des réponses au fond à ce problème, j'ai demandé à Xavier Emmanuelli (président du Samu social) et au préfet d'Ile-de-France Bertrand Andrieu de me proposer dans les toutes prochaines semaines un plan d'action", a-t-il ajouté.

"A partir d'un diagnostic et d'une évaluation de la situation, j'attends des propositions concrètes et opérationnelles ", a poursuivi le chef du gouvernement.

Les centres n'hébergent généralement les sans-abri que pour une durée limitée. Dans celui du boulevard Ney, géré par le Secours catholique, les SDF peuvent être ainsi accueillis sept nuits au total. Le Samu social se charge ensuite de leur trouver une place dans un autre centre, en fonction des disponibilités.

…/…

REVALORISER LE TRAVAIL !!!

Au cas où Dominique de Villepin ne serait pas au courant, l'hiver dure au moins quatre mois dans notre beau pays !

Les chômeurs fraîchement expulsés n'ont qu'à prendre n'importe quel emploi (s'ils en trouvent un, et si on les accepte), on leur fera une fleur.
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0 # tristesir 2005-11-28 15:09 Comment trouver un bail avec une seule feuille de paye et si de plus le contrat est un mi-temps,tiers temps, quart temps?
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0 # Simontrois 2005-11-28 23:22 Ave, Mr Auclair, ceux qui vont mourrir (de froid, de maladie et de désespoir et parfois de tout à la fois) vous saluent !
Pour les autres il est trop tard …Pourtant souvenez vous de la chanson que chantait Brassens dans votre jeunesse !("Elle est à toi …") A l'heure de votre mort, vous serez donc passé à côté de tout ?
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0 # Yves 2005-11-29 12:11 La moyenne d'âge des sans-abri est en hausse. Et ils sont plus exposés que les autres à la détresse de la rue.

UN SANS-ABRI de 45 ans a été retrouvé mort hier matin à Paris. L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée, a été découvert sans vie rue Cauchy (XVe). Le froid n'est que l'une des hypothèses de la cause du décès, les températures ayant remonté dans la capitale dans la nuit de dimanche à lundi. Il s'agit en tout cas du sixième SDF retrouvé mort en France, en moins d'une semaine.

On vieillit mal ou peu dans la rue. «Quel âge me donnez-vous ?» demandait dimanche soir un SDF devant Dominique de Villepin en visite à la cité d'hébergement André-Jacomet à Paris. Il avait 63 ans, mais en paraissait bien davantage. L'errance l'avait cassé.

Age moyen : 49 ans

L'association Morts de la rue a recensé, de février à octobre 2005, 112 décès parmi les SDF. L'âge moyen des personnes décédées est de 49 ans, alors que l'espérance de vie en France est de 76,7 ans pour un homme et de 83,8 pour une femme. Le froid n'est pas – et de loin – la seule cause : on meurt dans la rue autant en été qu'en hiver.

Le Secours catholique observe que l'âge moyen des personnes demandant son aide croît : «Les personnes de 50 à 59 ans sont de plus en plus fréquentes (12,9% en 1999, 15,5% en 2004). L'augmentation du nombre de personnes de 60 ans et plus est aussi significative (4,7% en 1999, 5,5% en 2004).»

Le refuge de la Mie de Pain, dans le XIIIe à Paris, a fait le choix de réserver les deux tiers de ses 442 lits à des hommes de plus de 45 ans. Sitôt ouvert à la fin d'octobre, il affiche complet. «A partir de 45 ans, c'est plus dur d'être dans la rue, affirme Jacques Bresson, directeur de cette association. Le corps marche moins bien, il est plus sensible à l'humidité.» Ces hommes ou ces femmes en errance ont tellement marché, bu, bagarré, affronté tous les temps…

Cet été, 10% des personnes qui se sont rendues aux soupes de nuit distribuées par l'Armée du Salut étaient âgées de plus de 70 ans. Elles ne vivent pas forcément à la rue ; mais leurs maigres ressources et l'isolement ne permettent pas toujours de faire face aux dépenses. L'hiver 2004, à Paris, une soixantaine de personnes âgées étaient là chaque soir. Le même constat a été fait à Lyon.

Précarité des seniors

Médecins du Monde indique que le nombre des patients SDF de plus de 60 ans augmente. Au Samu social de Paris, 2 420 des 11 801 personnes qui ont bénéficié d'un hébergement d'urgence en 2004 avaient cinquante ans ou plus. Si les statistiques n'indiquent pas ici une augmentation, c'est que les SDF «âgés» sont placés en maison de retraite dès que possible, y étant admis plus tôt que les personnes avec un domicile. Emmaüs, la Mie de Pain, les Petits Frères des Pauvres multiplient ces lieux d'accueil.

La précarité des seniors, qui s'est manifestée lors de la canicule de 2003, reste difficile à cerner. Soit, plus fragiles, ils meurent plus tôt ; soit, plus isolés, ils cessent d'exister socialement.

Source : www.lefigaro.fr
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0 # tristesir 2005-11-29 21:57 Intérimaire, expulsé, mort dans le froid

Misère . Sylvain Schiltz, travailleur précaire, jeté à la rue à la veille de la trêve hivernale, est mort à l’orée d’une forêt de Haute-Saône. Le froid a mis fin à une errance de trois semaines.

Correspondance particulière.

Sylvain Schiltz est mort d’un malaise consécutif à une hypothermie, dans la nuit du 23 novembre dernier. Ce mercredi soir, le célibataire de trente-huit ans a garé sa voiture dans une travée conduisant à un bois situé sur la commune de La Grande-Résie, en Haute-Saône. Il régnait un froid vif de - 5 degrés, un froid fatal qui mettra un terme à son errance de trois semaines. Sylvain Schiltz n’était en aucun cas un sans-domicile-fixe. Depuis quatre ans, il prêtait ses bras aux entreprises de ramassage des ordures ménagères, un milieu de travail où la précarité des emplois tend à s’accentuer, selon la CGT. Les sociétés, pour emporter des appels d’offres, jouent sur la masse salariale et les agences d’intérim font l’appoint en personnel jetable. Actuellement, à Longwy, les salariés d’une entreprise chargée de la collecte des ordures ménagères sont en grève. Ils dénoncent la faiblesse des salaires, la précarité et les conditions de travail.

Ce travailleur intérimaire avait été, le 31 octobre dernier, victime des ultimes expulsions prononcées avant la trêve hivernale. Par injonction de la gendarmerie, il a dû quitter son appartement de Dampierre-sur-Salon. Sans dire mot à personne, il a chargé sa voiture qui est devenue pour trois semaines sa « résidence » principale. Le travailleur pauvre avait sa dignité et il semble qu’il avait décidé d’assumer seul sa misère. Sa famille, originaire de la Meuse, ignorait tout de sa galère et, devant son voisinage du lotissement des Sablots, il « n’a jamais laissé apparaître un signe de difficulté », comme le souligne une proche voisine.

« Cacher sa misère est encore une règle en milieu rural. Ici, un chômeur est pour beaucoup un fainéant, et il n’était pas du village. La solidarité a ses codes et je ne pense pas qu’il aurait bénéficié d’une grande générosité », confie un jeune habitant du village. Le maire de Dampierre-sur-Salon assure pourtant qu’il aurait fait quelque chose s’il avait su. Et pour savoir, fallait-il encore qu’il ait été informé. « Si les services sociaux ont une certaine efficacité en milieu urbain, à la campagne, le bouche-à-oreille demeure de mise », déplore Janine Rimbert, responsable du Secours populaire de Haute-Saône. Jacques Bernardin, maire (PCF) de Couthenans, est un des rares élus ruraux à prendre, chaque année, un arrêté anti-expulsion que les préfets successifs du département ne manquent pas de déférer devant la juridiction compétente : « Ils sont systématiquemen t annulés. Alors, avec les communes proches, nous avons mis en place des rencontres fréquentes avec la gendarmerie. En règle générale, nous pouvons intervenir avant la scandaleuse expulsion. » Une démarche personnelle qui demeure unique dans le département.

la seule solution, l’hôpital de ville

Janine Rimbert regrette cet état de fait, même si elle avoue : « Si ce jeune homme s’était présenté au Secours populaire de Gray, nous aurions pu le vêtir, le nourrir, mais pour l’hébergement nous n’avons rien. La seule solution, c’est l’hôpital de la ville qui, pour deux nuits, accueille les personnes sans domicile. » Quand le niveau 2 du plan hivernal est déclenché, le foyer des jeunes de Gray met deux chambres à la disposition des associations caritatives et des services sociaux du secteur. Sylvain Schiltz n’était certainement pas homme à frapper à la porte de l’hôpital pour demander asile. Le peu d’argent qu’il possédait encore devait servir essentiellement à sa nourriture et au carburant de sa voiture afin de rechercher un travail qui lui aurait, peut-être, permis de se reloger.

de plus en plus

de jeunes touchés

Janine Rimbert craint que cet épisode dramatique ne se renouvelle : « Les jeunes sont de plus en plus nombreux à frapper à la porte du Secours populaire. Les familles n’ont plus les moyens de subvenir à leurs besoins, car elles sont, elles-mêmes, dans des difficultés incommensurable s. Le potager derrière la maison qui nourrirait tout le monde est un mythe citadin. À la campagne, la pauvreté est bien réelle. » Sylvain Schiltz n’est pas mort dans la rue mais à l’orée d’un bois. Pourtant, il aurait dû pouvoir bénéficier d’un soutien. « Soit on admet l’insupportable banalisation chaque hiver d’un lot de morts de froid, soit on se donne, dans ce pays riche, les moyens d’y mettre un terme. Malheureusement , je crains que la mort de Sylvain Schiltz demeure un simple fait divers », peste Jacques Bernardin. En Haute-Saône aussi, la misère tue en silence.

Alain Cwiklinski

Source: http://www.humanite.fr/journal/2005-11-28/2005-11-28-818804
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