Accès à l'indemnisation plus difficile et plus long, durée des indemnités à la baisse, hausse des cotisations patronales et salariales… tout cela fin d'économiser 580 millions de francs suisses par an sur fond de déficit (5 milliards, montant qui pourrait doubler d’ici à la fin de la crise. Autrement dit, on tente d'écoper le bateau avec une cuillère, et tant pis pour les matelots !) => LIRE ICI
Ces sacrifices sont considérés comme «malvenus, mais nécessaires».
Il est vrai que ce paradis fiscal ne fait pas partie de l'UE : la Suisse ignore donc les recommandations de Bruxelles pour favoriser la relance (mais elle n'est pas la seule…) et applique une politique radicalement opposée.
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