Pas de parking réservé à la direction, ni de bureaux plus spacieux pour les cadres. Certaines entreprises ne regroupent même pas leurs collaborateurs par service… mais par client. Elles ne disposent plus, depuis longtemps, d’une pointeuse. Elles autorisent les salariés à fixer leurs propres emplois du temps et certaines n’ont plus aucun manager, ni titres, ni grades. Les salariés choisissent leurs leaders, et définissent eux-mêmes la description de leurs postes.
Qu’elles s’appellent Chronoflex à Nantes, Flavi à Hallencourt en Picardie, Poult à Montauban, ou encore Lippi à Mouthiers-sur-Boëme en Poitou-Charentes ou Usocome à Haguenau, ces entreprises tendent à considérer leurs salariés comme des adultes responsables et non comme de bons petits soldats. Elles suivent en cela leurs modèles, des géants mondiaux parfois, qui ont pour nom Harley-Davidson, Sun Hydraulics, ou encore W.L.Gore et Southwest Airlines.
Ces entreprises ont plusieurs points communs : des retours sur investissement élevés, un taux de rotation de leurs salariés extrêmement bas et surtout, surtout, la considération et le respect qu’elles donnent à leurs salariés.
Lire l'article de La Tribune
(Source : Eco89)
Articles les plus récents :
- 07/11/2012 08:00 - Le 14 novembre, mobilisons-nous contre l'austérité !
- 04/11/2012 06:18 - Le «Plan stratégique 2015» de Pôle Emploi (2)
- 04/11/2012 04:37 - Compétitivité : Vous avez dit «baisser les charges» ?
- 31/10/2012 14:43 - Grèce : la «troïka intérieure»
- 29/10/2012 11:58 - Restauration : Il faut en finir avec la TVA à taux réduit
Articles les plus anciens :
- 19/10/2012 12:33 - L'austérité grecque jugée illégale
- 17/10/2012 14:33 - Une crèche «clandestine» devant le ministère de la Famille
- 17/10/2012 12:17 - Nouveau monde : le jour où le non-travail sera rémunéré
- 16/10/2012 11:47 - Mardi, c'est la journée mondiale de l'alimentation
- 15/10/2012 14:52 - De Hénin-Baumont à Boston