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Accueil Social, économie et politique Le chômage à 9,3% en avril

Le chômage à 9,3% en avril

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Le mois dernier, le nombre de demandeurs d'emploi serait revenu à son niveau le plus faible depuis quatre ans, totalisant 2.262.000 personnes soit 9,3% de la population active au sens du BIT.

Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie 1 (immédiatement disponibles, à la recherche d'un emploi à durée indéterminée et à temps plein, qui sert de baromètre officiel même s'il ne comptabilise pas tous les chômeurs) aurait encore baissé de 1,1% en avril (-26.300 personnes) par rapport à mars, atteignant ainsi son niveau le plus faible depuis juin 2002.
Cette baisse porterait le recul total du nombre de demandeurs d'emploi à -212.000, soit une baisse de 8,6% sur la période.

Et c'est l'heure de gloire de Jean-Louis Borloo, qui affirme qu'il sera possible de passer sous la barre des 9% d'ici la fin de l'année.

Nous avons volontairement utilisé le conditionnel, car à nos yeux ces résultats ne reflètent pas la réalité au vu de la qualité des emplois proposés aujourd'hui (70% sont dans le champs de la précarité) et de la création nette (on ne peut même pas tabler sur 100.000 emplois nouveaux à l'année !). Cette baisse du chômage nous semble donc toujours aussi artificielle, et purement statistique.

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Mis à jour ( Mercredi, 31 Mai 2006 12:30 )  

Commentaires 

 
0 # superuser 2006-05-31 11:35 Ségolène Royal juge "possible" de faire passer le chômage sous la barre des 5% de la population active en France.

"D'autres pays d'Europe ont réussi à baisser leur taux de chômage en dessous des 5%. C'est donc possible d'y parvenir", a remarqué la candidate à l'investiture socialiste pour la présidentielle de 2007, lors d'un chat (discussion en ligne) mardi 30 mai sur le site internet des Echos.

"Il faut une réforme profonde de l'ANPE", qui devrait mener "une politique volontariste d'adaptation des qualifications (des demandeurs d'emploi, ndlr) aux besoins des entreprises", a estimé la présidente socialiste du conseil régional de Poitou-Charentes. Elle a, également, proposé "un plan de formation obligatoire".

…/…

• Alors, quel pays d'Europe va-t-elle prendre comme modèle ? Celui de Tony Blair ?

• Réformer l'ANPE ? Pourquoi pas. Mais ce n'est pas l'ANPE qui créé les emplois, que je sache…
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0 # superuser 2006-06-01 18:03 Ségolène Royal, candidate à l'investiture socialiste pour 2007, s'est prononcée mercredi soir pour la mise sous tutelle des allocations familiales et un "encadrement à dimension militaire" afin de lutter contre la délinquance des jeunes.

Lors d'un discours prononcé à Bondy (Seine-Saint-Denis), la présidente de Poitou-Charentes a regretté la suppression du service militaire et déclaré : "Si on veut donner une nouvelle chance aux jeunes au premier acte de délinquance, il faut des systèmes d'encadrement à dimension militaire, avec des actions humanitaires, des orientations vers l'apprentissage des métiers, avec le passage du permis de conduire et le réapprentissang e de la citoyenneté".

"Il faut épauler les familles, ne pas les disqualifier et quand les incivilités se multiplient, avoir un système d'obligation pour les parents de faire des stages dans des écoles de parents, avoir des systèmes de mise sous tutelle des allocations familiales, comme c'est le cas aujourd'hui, mais dans des logiques éducatives de réinsertion des parents", a encore dit Mme Royal.

Elle a préconisé un système de "tuteur des collégiens", "c'est-à-dire qu'il y ait dans les classes deux adultes au lieu d'un, l'enseignant qui transmet le savoir et un adulte qui établit la discipline".
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0 # superuser 2006-05-31 12:06
"La nouvelle baisse du chômage est purement statistique", estime le secrétaire national du Parti socialiste aux questions économiques, Eric Besson. "Regardez les chiffres : la France a créé 50.000 emplois en 2005 seulement et le nombre de chômeurs aurait baissé de 200.000 ? C'est impossible avec un taux de croissance à 1,2% !", a-t-il déclaré sur Europe 1.

"Nous étions 13,5 millions de salariés dans le privé en France en 1997, 15,5 millions en 2002 et nous sommes à peine 16 millions de salariés. Autrement dit, l'emploi net en France n'augmente pas. C'est ça la réalité", a-t-il martelé. "Quand Lionel Jospin a quitté Matignon en 2002, la France comptait 9% de la population active au chômage. Aujourd'hui on est à 9,3% et le gouvernement dit hourra et les parlementaires scandent le nom de Borloo !".

Eric Besson a rappelé que dans le projet présidentiel du PS, qui doit être présenté aux militants le 6 juin, il est prévu de moduler l'impôt sur les sociétés afin d'encourager l'investissement et relancer la création d'emplois : il s'agira de taxer plus fortement une entreprise "qui distribue à ses actionnaires, ou pire quand elle rachète ses propres actions pour faire monter son cours de bourse", a-t-il expliqué.
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0 # superuser 2006-05-31 12:22 A lire sur Boursorama.com :

Pour Nicolas Bouzou (Xerfi) : Il ne faut pas se voiler la face : l'embellie française sur le front de l'emploi procède en grande partie de deux causes pas forcément vertueuses.

Premièrement, la montée en charge des contrats aidés (dans les secteurs privé, public, associatif) et de l'apprentissage explique certainement une bonne partie de la baisse du chômage, en particulier chez les jeunes. Et cela va continuer. 300.000 entrées en contrats d'avenir et CAE sont notamment prévues cette année. Mais il faut bien comprendre qu'aucun pays n'a jamais réglé le problème du taux de chômage à coups de contrats subventionnés. Sans réforme du marché du travail, sans sécurisation des procédures de licenciement, pas de retour au plein emploi. C'est ce que nous enseigne l'expérience de nos voisins qui ont réussi.

Deuxièmement, les pressions démographiques sont de moins en moins fortes. D'une part parce les classes d'âge qui arrivent aujourd'hui sur le marché du travail ne sont pas très nombreuses (le taux de natalité a commencé à baisser en 1982). D'autre part parce que le nombre de départs en retraite augmente chaque année en particulier sous l'effet de la loi Fillon.

Ainsi, environ 40.000 créations nettes d'emplois par an sont aujourd'hui suffisantes pour stabiliser le taux de chômage contre 200.000 en 2000. En d'autres termes, le taux de chômage n'est plus le thermomètre pertinent pour prendre la température de marché du travail. Mieux vaut regarder les créations d'emplois dans le secteur privé marchand.
Et c'est bien là que le bât blesse. En effet, il y a eu un peu plus de 50.000 créations nettes d'emplois salariés en T4 2005 et T1 2006 (alors que le nombre de chômeurs a reculé de 90.000!). Historiquement, ces chiffres ne sont pas très forts. Plus grave, le secteur tertiaire a créé en T1 2006 29.500 emplois nets, soit moins que la moyenne des 30 dernières années (malgré l'instauration du CNE en août). Les comportements des entreprises restent donc relativement attentistes en matière d'embauches.
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0 # superuser 2006-06-01 15:53 Le chômage baisse parce que "le nombre de départs à la retraite se fait massif et que le RMI et les emplois aidés augmentent", a déclaré le président de l'UDF lors de l'émission "Questions d'info" de LCP/Le Monde/France Info. "C'est une vérité statistique, ce n'est pas un développement de l'emploi", a-t-il ajouté. "Il n'y a pas de création d'emplois nouveaux en France".

Interrogé sur la popularité au sein de l'UMP du ministre de l'Emploi Jean-Louis Borloo, que certains députés du parti majoritaire verraient bien à Matignon, M. Bayrou a répondu que "les députés UMP aujourd'hui sont dans l'obsession de voir Dominique de Villepin quitter le gouvernement". "Si c'est ce qu'ils voulaient, ils n'avaient qu'à voter la censure", a ajouté le député des Pyrénées-Atlantiques. "En refusant de voter la censure (…), ils ont donné un nouveau bail à Dominique de Villepin à Matignon".
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0 # superuser 2006-06-01 16:07 A lire sur AgoraVox :

Les statistiques du chômage font apparaître une nouvelle baisse en avril : les demandeurs d’emplois représentent désormais 9,3% de la population active contre 9,5 en mars. Mais ces jolis chiffres dissimulent un marasme social qui perdure.

Jean-Louis Borloo, ministre de l’emploi et de la cohésion sociale, s’en félicite bruyamment et fait le tour des médias pour décerner à son action un brevet d’autosatisfact ion, la plupart répercutant sa parole telle quelle, sans aucun recul ni analyse.

Il y a pourtant plusieurs éléments à prendre en considération pour expliquer que cette baisse ne change rien au marasme social dans lequel se débattent les Français.

Un rappel d’abord : le chômage demeure, aujourd’hui encore, et malgré 13 mois de baisse, à un niveau plus élevé que quand Jacques Chirac a été réélu en 2002.
Deuxième mise au point, le contexte de durcissement du contrôle des chômeurs et les radiations et autres manips statistiques si bien dénoncées par une conseillère de l’ANPE, Fabienne Brutus dans son livre "Chômage, des secrets bien gardés".
Ensuite, ce qu’on nous présente comme une embellie est essentiellement dû au "traitement social" : au total, près de 285.000 personnes bénéficient d’un emploi aidé non marchand (contrat d’avenir ou d’accompagnemen t dans l’emploi), alors que la création d’emplois marchands baisse, de 30.000 au 4e trimestre 2005 à 20.000 au 1er trimestre 2006. Mentionnons aussi 452.000 contrats nouvelle embauche, dont on ignore combien d’entre eux n’auraient pas été conclus sous une forme moins pénalisante et précaire pour le salarié (une femme enceinte vient encore de se faire licencier !).

Ensuite, une étude de l’INSEE lève le voile sur le paysage réel de l’emploi en France : plus d’un million de salariés ont plusieurs employeurs, ce qui "va de pair avec des salaires très bas et une durée de l’emploi principal très faible". 1.126.000 personnes plus précisément, soit 4,8% des salariés. Sont principalement concernés des assistantes maternelles, des aides à domicile ou des employés de maison. On a donc d’une part des emplois aidés, et de l’autre, une explosion du nombre de gens qui travaillent mais ne parviennent pas pour autant à en vivre, les "travailleurs pauvres". Sans mentionner les RMIstes, dont les deux tiers ne sont pas inscrits à l’ANPE et n’apparaissent donc pas dans les belles statistiques de Jean-Louis Borloo. Une dérive à l’anglo-saxonne, modèle tant vanté par nos ultra-libéraux, tel qu’un Nicolas Sarkozy, par exemple, rêve de transposer en France. On y arrive !
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0 # superuser 2006-06-01 18:01 Dominique de Villepin et Jean-Louis Borloo, minimisant leur rivalité, ont célébré ensemble mercredi la baisse de 1,1% du chômage en avril, attribuée au travail réalisé par le gouvernement depuis un an.

Pour le premier anniversaire de sa nomination, le Premier ministre s'est joint à une visite, prévue depuis lundi, de Jean-Louis Borloo dans le Val-de-Marne. Les deux hommes sont arrivés ensemble après le conseil des ministres.

Les chiffres du chômage en avril, annoncés mardi soir par le ministre de l'Emploi lui-même, ont il est vrai de quoi satisfaire le chef du gouvernement, dont la "bataille pour l'emploi" est la première priorité. Cette bonne nouvelle tombe aussi au meilleur moment alors qu'il est en difficulté en raison du CPE et de l'affaire Clearstream, et à la veille de sa conférence de presse mensuelle, délocalisée à Chartres (Eure-et-Loir).

Avec 26.300 chômeurs de moins en avril, le taux de chômage est revenu à 9,3% de la population active, le niveau le plus bas depuis juin 2002. Depuis février 2005, le nombre des demandeurs d'emploi a reculé de 212.000.

"L'effort important qui a été engagé donne ses fruits", a estimé Dominique de Villepin lors d'un point presse au côté de M. Borloo à l'espace-accueil emploi de Maisons-Alfort (Val-de-Marne). Lors du conseil des ministres, Jacques Chirac y a aussi vu "le résultat d'une politique globale".
Bon prince, le Premier ministre a attribué la baisse aux mesures du plan Borloo de cohésion sociale, à la modernisation du service public de l'emploi et à la croissance économique.

Dominique de Villepin a ajouté que le gouvernement n'avait "pas l'intention de s'arrêter là". "Il reste encore beaucoup à faire : 9,3%, c'est encore trop", a souligné celui qui compte sur ses résultats contre le chômage pour rebondir.

Le Premier ministre, qui a visité en compagnie de M. Borloo une maison des services à la personnes, met tous ses espoirs dans le plan de développement de ces services, lancé en février par le ministre de l'Emploi.

Dominique de Villepin a assuré que le recul du chômage n'était dû ni aux radiations de demandeurs d'emplois ni à la démographie, deux raisons avancées par la gauche.

Martine Aubry et Jean-Marc Germain (PS) ont estimé dans un communiqué que ces deux facteurs sont les principales explications de la baisse du chômage depuis un an. Ainsi, "45.000 personnes supplémentaires ont été radiées des fichiers de l'ANPE au cours des trois derniers mois, (181.000 par mois contre 166.000 par mois précédemment), soit près des trois quarts de la baisse du chômage sur la même période", observent les socialistes, jugeant "l'autosatisfactio n du gouvernement déplacée".

Ce déplacement commun a aussi permis à Dominique de Villepin et Jean-Louis Borloo de remettre les pendules à l'heure au lendemain de l'ovation réservée mardi par les députés UMP au ministre de l'Emploi. Ce geste de soutien de l'UMP à M. Borloo, successeur possible de Dominique de Villepin si Jacques Chirac décidait de changer de Premier ministre, a été interprété comme un nouveau désaveu de la majorité au chef du gouvernement. Il y a deux semaines, la moitié des députés UMP avait déjà boudé le débat sur la motion de censure déposée par le PS.

Le Premier ministre a fait mercredi bonne figure en utilisant une métaphore footballistique à neuf jours de l'ouverture de la Coupe du monde en Allemagne. "Quand Zidane voit Trezeguet marquer un but, il se réjouit, c'est mon cas", a-t-il affirmé. "Trezeguet, il a vu qu'il n'était pas sur la feuille de match pour le match (NDLR : ce mercredi soir à Lens) contre le Danemark. J'espère que ce n'est pas un mauvais pressentiment", a cependant ajouté Jean-Louis Borloo. "Non, rassure-toi", a repris le chef du gouvernement. Les deux hommes sont ensuite repartis chacun de leur côté.
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0 # superuser 2006-06-03 21:04 La société Bosch Systèmes de Freinage France (BSFR) a présenté jeudi en comité central d'entreprise un plan de redressement financier impliquant une diminution d'effectifs qui pourrait porter sur 371 postes sans licenciement.

La société, qui emploie environ 1.600 salariés sur cinq sites, auxquels s'ajoutent 200 contrats d'intérim, "continue d'accumuler les pertes en dépit du plan industriel de 2003", souligne la direction qui fait valoir que "face à l'augmentation des matières premières d'une part et à la pression sur les prix exercée par les clients d'autre part, le retour à l'équilibre prévu à la fin de l'année ne sera pas atteint. C'est dans ce contexte qu'elle a présenté jeudi aux membres du Comité Central d'Entreprise "un nouveau plan de redressement".

"L'équilibre financier ne pourra être atteint sans une diminution globale des effectifs", souligne la direction, selon laquelle "371 postes pourraient être supprimés par la non-reconduction d'environ 200 contrats d'intérim d'une part, et des dispositifs favorisant les départs volontaires d'autre part, l'objectif de la direction" étant "de ne procéder à aucun licenciement".
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0 # superuser 2006-06-03 21:08 Quelque 800 personnes selon la police, 1.200 selon les organisateurs, ont manifesté jeudi à Nevers à l'appel d'une intersyndicale pour le maintien de l'emploi dans le département, après l'annonce de 600 suppressions de postes en six mois.

Les salariés de Dim (collants et sous-vêtements), Facom (outillage), Look Fixations (ski) ou Euro-Auto Hose (équipementier automobile), qui doivent perdre respectivement 95, 134, 67 et 48 postes, figuraient en tête du cortège, parti de la chambre de commerce et d'industrie. Ils tenaient des banderoles où l'on pouvait lire : "Non aux suppressions d'emplois" ou "Non à la précarité".

"Les entreprises veulent une profitabilité maximale, à coup de délocalisations de voyous", a déclaré devant la préfecture Michèle Herpin, déléguée CFDT du site Dim de Château-Chinon, qui doit fermer d'ici fin 2007.

Des salariés du site d'Autun (Saône-et-Loire), berceau de la marque, où 220 emplois doivent disparaître, avaient aussi fait le déplacement. Deux autres représentants syndicaux ont lancé : "La Nièvre est en danger de mort" et "L'Etat et le gouvernement doivent financer la réindustrialisa tion".

Des habitants de Nevers se sont joints à la manifestation aux côtés de salariés de La Poste, actuellement en grève, ou d'AIAD, association intercommunale d'aides à domicile, qui subit aussi des coupes dans ses effectifs.
Parmi les personnalités politiques présentes, on comptait le président (PS) du conseil général, Marcel Charmant, et le sénateur-maire (PS) de Château-Chinon, René-Pierre Signé.

Le conseil général de la Nièvre, réuni en assemblée extraordinaire le 20 mai, a voté une motion condamnant les plans sociaux chez Dim et Facom. L'assemblée a aussi demandé un moratoire pour permettre des négociations avec les directions, comme l'Etat l'a fait dans le dossier Sogerma à Mérignac (Gironde).
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0 # superuser 2006-06-04 16:22
Avril 2006, 26.300 demandeurs d'emploi en moins. Mais :

=> 35.192 radiations administratives (absences à convocations, dont on sait qu'elles sont un imbroglio postal et informatique de + en + pesant)

=> 145.850 absences au pointage, que des enquêtes attribuent pour 45 à 50% à une reprise d'emploi et pour 35% à un abandon par découragement…

Chiffres de la DARES
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