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Accueil Social, économie et politique Débat télévisé : Les arguments pour contrer Sarkozy

Débat télévisé : Les arguments pour contrer Sarkozy

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L’écart de voix qui sépare les deux finalistes de l’élection présidentielle peut se creuser ou se réduire ce soir, lors du débat télévisé qui oppose Ségolène Royal à Nicolas Sarkozy. Si la candidate socialiste ne part pas favorite, elle peut inverser la tendance et contrer le candidat de l’UMP. Ce ne sont pas les arguments qui manquent. Voici quelques «fondamentaux» anti-Sarkozy.

Pour espérer l'emporter le 6 mai, Ségolène Royal doit absolument contrer Nicolas Sarkozy en s'appuyant sur quelques «fondamentaux», ces arguments imparables qui pourraient mettre le candidat de l'UMP dans une situation inconfortable. Mais la partie va être serrée. À quelques heures de l’affrontement, Rénovation-démocratique liste quelques «fondamentaux» anti-Sarkozy qui devront, à un moment ou un autre, émerger du débat (…)

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Mis à jour ( Mercredi, 02 Mai 2007 13:05 )  

Commentaires 

 
0 # Yves 2007-05-02 17:44 Ci-dessous le contenu d’un mail qui circule. Par souci d’objectivité, nous signalons à nos lecteurs que les propos retranscrits ici, qui sont attribués à François Bayrou, n’ont pas été vérifiés par la rédaction de Rénovation-démocratique. Si le Président de l’UDF les a effectivement prononcés, ça casse grave !

Discours du 18 avril 2007 à Paris (POPB Bercy)

«Nicolas Sarkozy a déclaré, ce matin : "François Bayrou est à Gauche" et on sent qu'en prononçant cette phrase, il y a, chez lui, comme une vraie insulte. C'est presque comme s'il avait dit que j'étais un immigré, que j'égorge les moutons dans ma baignoire ou que je suis un pervers génétique».

«Cela me fait plaisir de ne pas recevoir le label de la Droite à la mode Sarkozy, car elle est le contraire de ce que j'ai cru et voulu toute ma vie».

«Je veux vous dire que je ne suis pas assuré que, si à ce moment [de la guerre en Irak], Nicolas Sarkozy avait été Président de la République, la France aurait eu l'attitude qui a été la sienne. Je suis persuadé qu'elle aurait été du côté de Tony Blair, du côté de José Maria Aznar et du côté de Berlusconi, puisqu'il a été leur ami».

Discours du 16 avril 2007 à Lyon (Palais des Sports)

François Bayrou : «La société que nous présente Nicolas Sarkozy, est une société qui se caractérise par sa dureté, une société dans laquelle ceux favorisés par la naissance ou par la situation ont toute latitude de transmettre aux générations qui viennent, qu'elles aient du mérite ou pas, les fortunes acquises, une société dans laquelle le bouclier fiscal est décidé pour exonérer les plus riches d'un certain nombre de contributions fiscales dont on va laisser la charge aux classes moyennes».

«Je n'aime pas une société dans laquelle on laisse entendre que tout est décidé à la naissance ou avant la naissance dans le patrimoine génétique des uns ou des autres, parce que cette société-là conduit inéluctablement à une idée que Nicolas Sarkozy avait déjà présentée quand il était ministre de l'Intérieur : la tentative de repérer les petits-enfants prédélinquants dès trois ans».

«Vous aurez beau mettre tous les douaniers, tous les policiers, tous les charters, toutes les murailles, tous les grillages que vous vous voudrez, tant que vous n'aurez pas rééquilibré l'extrême misère et l'extrême richesse, les pauvres viendront chez les riches».

Interview du 16 avril 2007 sur France 2 (Question ouverte)

François Bayrou : «Il faut écarter un projet de société violent qui ne correspond pas à ce que beaucoup de Français, y compris de droite, y compris de l'UMP, veulent pour la France. Le projet de société de Nicolas Sarkozy ne ressemble pas à ce qu'est le projet de société de la France républicaine».

«La manière dont Nicolas Sarkozy a fait sortir un certain nombre de thèmes et de détestations, un certain nombre d'idées qui n'avaient jamais été envisagées dans une campagne électorale, ceci est une dérive pour la France».

«C'est très bien de vouloir réduire les électeurs de Jean-Marie Le Pen, mais seulement si en même temps on réduit les idées de Jean-Marie le Pen. Or Nicolas Sarkozy veut réduire les électeurs de Jean-Marie Le Pen, mais en multipliant les idées de l'extrême droite, en les validant».

«Si vous dressez les Français les uns contre les autres pendant la campagne, après vous ne pourrez plus cicatriser les blessures que vous aurez créées. Voilà pourquoi je suis en confrontation avec Nicolas Sarkozy. Son projet est un projet très dur où, au fond, le pouvoir est en épreuve de force permanente avec une grande partie de la société».

Discours du 5 avril 2007 à Agen

François Bayrou : «Quand vous excitez ainsi des sentiments anti-immigration, oh, il n'y a pas de mal à les faire flamber. C'est tellement plus facile de faire flamber les sentiments de détestation que les sentiments de compréhension».

Discours du 2 avril 2007 à Reims

François Bayrou : «Je ne suis pas de ceux qui prétendent que c'est facile de mener une politique de sécurité. J'ai toujours pensé que c'était difficile, mais, ce que je n'aime pas, ce sont les rodomontades de ceux qui, ayant la charge de ce difficile secteur, considèrent qu'ils peuvent publier des communiqués de victoire et expliquer à tout le monde que le travail a été fait et que les choses ont profondément changé».

«Je pense qu'il faut éviter de faire monter les tensions, de faire monter les affrontements entre les différentes catégories de Français. Je pense que les peuples sont très fragiles et très sensibles à cela. C'est très facile de pousser les peuples vers des sentiments primaires, des sentiments de rejet».

Interview du 28 mars 2007 sur la Chaîne Parlementaire

François Bayrou : «La méthode de Nicolas Sarkozy de passer par un mini traité pour relancer l'Europe, cela va fragiliser l'Europe, car on la laissera entre les mains d'un monde de technocrates qui ne parlent pas la même langue que les gens».

«Depuis que Nicolas Sarkozy est ministre de l'Intérieur, la police est devenue uniquement une force de répression ; et toute sa politique a été fondée sur des opérations médiatiques coup de poing».

Interview sur France 2 le 19 mars 2007 (Question Ouverte)

François Bayrou : «L'UMP avait promis de faire la tolérance zéro en matière de sécurité. Y sont-ils arrivés, alors qu'ils ont tous les pouvoirs depuis 5 ans ? Même chose pour les zones de non droit, que l'on avait promis de supprimer. Elles sont à présent si nombreuses que les forces de l'ordre n'ont pas le droit d'y entrer, ni même le ministre de l'Intérieur».

Interview sur RTL le 11 mars 2007 (Grand Jury)

François Bayrou : Je ne suis pas d'accord avec ce raisonnement mécaniste consistant à ne pas remplacer 1 fonctionnaire sur 2 , car cette promesse répétée de la droite à chaque élection n'est pas tenable, en particulier dans l'Education nationale, l'Université, la Justice.

Et en prime quelques extraits (certifiés conformes) de la conférence de presse du 25 avril :

François Bayrou y dénonce la «proximité de Nicolas Sarkozy avec les médias», «son goût de la menace et de l’intimidation» et son «tempérament qui accentuera les déchirures du tissu social».

Sur la proposition de Nicolas Sarkozy de baisser de 4 points les prélèvements obligatoires : «Un exploit que n’ont réussi ni Reagan ni Thatcher !»

«L’élection de Nicolas Sarkozy se traduira par une aggravation de la déchirure du tissu social et par un blocage de la vie démocratique».
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